SANS DESSUS......DESSOUS.......
Les femmes sauvages n'ont pas de pudeur car elles vont nues. Je réponds que les nôtres en ont encore moins : car elles s'habillent. [Jean-Jacques…
Ven 22 fév 2008
14 commentaires
Et je répondrais moi, habitué des salons XVIIIe et des courtisanes miaulantes avec Madame de Merteuil, qu'un rien t'habille Elise, et que Madame de Merteuil est une gourmande qui pousse à la consommation (forcément elle pense à elle aussi en même temps)... Bises libertines d'un autre temps qui est resté le même.
Valmont - le 23/02/2008 à 09h46
Valmont nous parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître..... lol
Dans une vie antérieure au XVIII e siècle, nous fréquentions en effet assidûment les salons.... Elise était une courtisane très appréciée.... aujourd'hui, nous devons nous contenter de certains salons du XVIII e arrondissement tout aussi libertins mais beaucoup moins raffinés....!
Dans une vie antérieure au XVIII e siècle, nous fréquentions en effet assidûment les salons.... Elise était une courtisane très appréciée.... aujourd'hui, nous devons nous contenter de certains salons du XVIII e arrondissement tout aussi libertins mais beaucoup moins raffinés....!
Elise et Marc - le 23/02/2008 à 09h55
Elise une courtisanne? je n'ose le croire...
Ces deux photos sont un régal pour les yeux et l'imagination, la première donne envie d'embrasser ce céant si charmant, tout en douceur et volupté, la deuxième stimule les apétits gourmands et invite à glisser mains et visage dans cette écume froufrouteuse de jupons rebels. Ah, chaque époque a ses délices dont il est bon d'user... et d'abuser? baisers frivoles.
nowang - le 23/02/2008 à 11h33
Un petit coucou de pas sage
Merci pour toute cette philosophie, cet humour, cette ode à la beauté
Je vois que Elise succombe avec bonheur à la mode des bottes hautes
et bises à Rousseau
Merci pour toute cette philosophie, cet humour, cette ode à la beauté
Je vois que Elise succombe avec bonheur à la mode des bottes hautes
et bises à Rousseau
Lung Ta - le 23/02/2008 à 15h57