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Pour mieux sonder mon inconscient, ma psy a recours à diverses techniques, dont l'hypnose.
C'est ainsi qu'au cours de la dernière séance j'aurais, selon elle, exprimé mon désir de me voir administrer une fessée par elle-même ! Il est vrai qu'elle a sur ce chapitre une revanche à prendre...
Cependant, la première surprise passée, j'avoue que cette perspective m'émoustille et me voilà saisi d'un fantasme de soumission que je ne soupçonnais pas, agenouillé, menotté et les yeux bandés face à mon analyste masquée, attendant avec autant d'impatience que de crainte l'arrivée des premières claques...
Décidément, ma psy est vraiment douée et je n'en changerais pour rien au monde.
Nous avions imprimé et rangé soigneusement dans un classeur une série de photos coquines. Hélas, en ouvrant maladroitement ce dernier, elles sont toutes tombées par terre ! Nous comptons sur vous pour nous aider à les ramasser et à les remettre en "ordre", encore que ce mot ne soit pas trop approprié à la chaude séance de photos qui eut lieu ce jour-là...
Moins connu que l'effet Larsen, l'effet Doppler ou l'effet de serre, l'effet Elise provoque essentiellement un phénomène physiologique chez les sujets mâles. Ce dernier se traduit par une certaine raideur dans le bas-ventre bientôt suivie d'une irrépressible envie de coït.
L'effet Elise est cependant également observable sur un certain nombre de femmes poutant hétéros qui se disent tout à coup tentées par une expérience "bi".
Juin, le mois des examens...
Pour les cris, nous sommes déjà admis
En ce moment
Nous révisons l'oral
Soyez gentils avec nous
Et nous nous laisserons "examiner"
De partout...
Cette blessure
Où va ma lèvre à l'aube de l'amour
Où bat ta fièvre un peu comme un tambour
D'où part ta vigne en y pressant des doigts
D'où vient le cri le même chaque fois
Cette blessure d'où tu viens
Cette blessure
Comme un soleil sur la mélancolie
Comme un jardin qu'on n'ouvre que la nuit
Comme un parfum qui traîne à la marée
Comme un sourire sur ma destinée
Cette blessure d'où je viens
Léo Ferré
Lumière tamisée infiltrée par le rythme langoureux d’une bossa nova…
Tes mains décalquent sur ma peau les notes suaves d’un saxo et mon corps devient mélodie sous les embruns exotiques de tes caresses.
La houle du désir creuse mes reins et coule, or en fusion, vers mon bas ventre…
Mes mains fiévreuses se tendent vers toi dans cet appel muet qui réclame la rencontre , la promiscuité enivrante puis l' union paroxystique ; mais elles ne happent que le vide : insolent et cruel …
Sous mes paupières j’ai senti ton sourire tandis qu’un léger bruissement de fond vient ourler la béance du manque…
J’ouvre les yeux : caméra au poing, tu gravites autour du lit …
« Caresse toi mon Amour »
Le murmure de ta voix est si soyeux, la sollicitation si persuasive et mon envie si brûlante que mes doigts s’invitent aussitôt à l’orée de ma peau et glissent lentement vers le delta pubien. Affranchis de toute pudeur, excités par ce plaisir à distance qui est déjà le tien avant de devenir mien, les voici qui écartent la frêle digue soyeuse de mon string
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