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J’ignorais jusqu’alors l’existence de ces graines de fessée germées au creux de tes paumes.
J’ignorais le pouvoir de ces fleurs du mal écloses, rougeoyantes, sur mon épiderme.
Ces fessées dont j’avais tant rêvé et dont le fantôme hantait mon esprit tout autant que mon corps depuis si longtemps…
Venant de toi, je les ai reçues comme un cadeau d’amour, je les ai vécues comme un passage initiatique par lequel j’allais à la rencontre de ce moi obscur, ce côté du mur à l’ombre que le regard esquive mais que le noir désir convoite.
La douleur flirtait avec le plaisir, la rédemption avec la récompense, le diabolique avec le divin et le sacré avec le blasphème…
Et ces liens qui entravaient mon corps pour, simultanément, me délier de moi et m’amarrer à toi…
Dans cette transgression il y avait tant de révélations, tant d’émergences sensuelles, tant d’émotions neuves me conduisant au plus près de moi et … au plus près de toi !
Les dernières notes du boléro de Ravel éclaboussaient encore la chambre.
Les bâtonnets d’encens achevaient de se consumer en volutes bleutées.
Un sommeil sans marges creusait son nid dans l’entrelacs de nos corps arraisonnés: dans son charroi de rêves le souvenir rémanent de ces stigmates au goût ineffable de fruits de la passion.
Et ma peau garde en mémoire cette part de toi gravée en mon cœur : indéfectible, intemporelle et absolue…
Moi-même à genoux derrière Elise, je me plaque de plus en plus contre sa croupe tout en continuant de lui asséner quelques claques qu'elle encaisse en gémissant de plus en plus fort.
Au bout d'un moment, n'y tenant plus, j'écarte son string et me met à titiller longuement sa chatte trempée du bout de mon gland. Puis, sans prévenir, je m'y enfonce d'un seul coup, d'abord complètement puis en me retirant lentement. J'amorce bientôt un mouvement de va-et-vient au rythme sans cesse variable avec parfois des interruptions qui ne font qu'exacerber notre excitation.
Ivre de désir pour ma monture, je la reprends alors sauvagement et nos mouvements deviennent de plus en plus saccadés, violents, effrénés… Le lit se met à trembler de toutes parts…. nous sommes au bord de l'explosion et une dernière claque encore plus forte que toutes les précédentes administrée sur sa fesse droite déclenche un orgasme simultané et dévastateur qui nous fait crier.
Nous tombons sur le côté silencieux, fourbus, assouvis... plus question de faire rougir cet irrésistible postérieur....c'est l'heure des caresses, de la tendresse, de la consolation, du pardon...
Mais Elise me chuchote à l'oreille qu'elle n'est pas sûre de résister à l'envie de faire une autre bêtise… juste pour avoir prochainement une nouvelle fessée…
(Marc)
(à suivre)
Le Net regorge de liens mais ceux que j'ai apporté aujourd'hui sont on ne peut plus réels et solides!
Je place Elise à genoux sur le lit et je commence à ligoter ses poignets déjà entravés par les menottes. Puis, je la saucissonne littéralement en enroulant la corde autour de son torse et en serrant vigoureusement pour empêcher tout mouvement des bras.
Je m' interromps de temps en temps pour prendre quelques photos, ce qui casse un peu le rythme mais qui en même temps nous émoustille sachant que toute cette mise en scène se double d'exhibitionnisme et que notre plaisir sera, nous l'espérons, partagé par un maximum de voyeurs familiers ou inconnus.
Je commence à caresser doucement ces magnifiques fesses sur lesquelles j'ai désormais un pouvoir absolu. Je me hasarde à une première petite claque, puis une autre... A la troisième et à la quatrième je frappe un peu plus fort puis je m'arrête en demandant à Elise si elle en veut encore. Elle me murmure que oui ! Je passe alors mes doigts dans son entre-jambes et je m'aperçois avec ravissement que son string est déjà tout humide. Voilà qui dissipe les derniers scrupules que je pouvais avoir à frapper plus violemment et je continue donc de plus belle, alternant des claques douces et des plus fortes, sans prévenir. Elise sursaute de plus en plus souvent et ses petits gémissements ainsi que sa posture de totale soumission éveillent en moi un désir incontrôlable qui s'exprime dans le durcissement de mon sexe.
Les fesses d'Elise arborent maintenant une couleur rosée avec les traces de mes doigts et je suis de plus en plus excité. Je lui demande alors sans détours de me sucer. Se retournant vers moi les yeux toujours bandés, elle cherche à l'aveuglette mon membre fièrement dressé et l'ayant trouvé le happe goulûment en entamant un mouvement de va-et-vient sur la hampe. Comprenant que je ne vais pas résister longtemps à un tel traitement, elle s'arrête et se retourne à nouveau vers la tête du lit en se cambrant lascivement. Sa croupe m'est à nouveau offerte dans l'attente de la suite de la punition…
Ainsi menottée, la vue occultée par ce bandeau noir, je retenais mon souffle, immobile, aux aguets...
Et si je ne pouvais apercevoir tes mouvements, mieux encore je les devinais, les captais, les capturais.
Le plus infime déplacement d'air heurtait ma chair et son écho, amplifié par le trouble qui s'emparait de moi tout entière, me transperçait jusqu'à l'intime.
Durant de longues minutes je n'ai perçu que ton souffle chaud qui jouait sur mon corps, allumant ça et là des foyers d'incendie sur tous les versants de ma peau bouleversée.
Puis ma pénombre s'est faite mystère lorsque j'ai senti l'assaut capiteux de cette odeur d'encens envahissant la chambre tandis que résonnaient les premières notes du Boléro de Ravel, dans ce martèlement itératif et obsessionnel comme un rituel magique.
Un délicieux vertige embrumait ma tête par cette ivresse infinie mêlant parfums, sons, frémissements et vibrations...
Suspendus entre fantasme et réalité, le temps était chimère, le lieu indéfinissable et moi, déjà autre, je dérivais vers l'inconnu dans cette conjuration de sortilèges.
Je me sentis soudain emportée dans tes bras puis déposée à plat ventre, jambes repliées,sur le lit transformé en autel sacrificiel.
Dès lors je sus que l'heure de ma conversion en "ta" soumise était venue...
(à suivre)
Non, Elise n'avait pas oublié... le verre qu'elle avait cassé, la fessée consécutive que je lui avais promis sur le ton de la plaisanterie, son acquiescement à cette proposition avec une lueur d'envie dans le regard qui m'avait à mon tour émoustillé.
Nous n'en avions plus reparlé jusqu'à ce week-end où nous nous sommes retrouvés dans cette chambre, théâtre de bien d'autres batifolages...
Ainsi tournée vers la cheminée, je lui chuchotai à l'oreille qu'elle aurait dans quelques instants ce qu'elle méritait, que j'allais la ligoter de telle manière qu'elle ne puisse plus bouger, que la fessée serait une vraie et qu'elle ne se limiterait pas à deux ou trois claques...
Pour commencer, je lui ordonnai de mettre les mains derrière le dos et je lui passai les menottes.
En frôlant ses fesses, je remarquai alors qu'elle avait la chair de poule et je devinai un mélange de crainte et d'excitation à l'idée du châtiment que j'allais lui infliger et dont les innombrables visiteurs de notre blog seraient les témoins...
(à suivre)
Hier soir, Marc s’est éclipsé quelques minutes…
De retour au salon, prenant d’autorité ma main : il m’a dit : Viens ! Et il ma conduite jusqu’à notre chambre…
Là : il m’a déshabillée, lentement, avec une infinie douceur ; tout en me couvrant de caresses.
Une fois dénudée, il a placé un bandeau noir sur mes yeux. Ensuite, m’a harnachée d’une guêpière, a enfilé des bas sur mes jambes puis il attaché à mes chevilles les lanières de chaussures à hauts talons.
J’ai frissonné en sentant le contact froid du marbre de la cheminée contre mon corps.
Il a joint mes mains, m’a embrassée langoureusement en me demandant de ne pas bouger…
Intriguée et amusée par ce nouveau jeu : j’ai obéi ; sagement.
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