SANS DESSUS......DESSOUS.......
Ma peau frissonne, mais ce n’est pas de froid…
Mon corps aux abois crie l’envie de toi
Vorace, obsédante, infinie
Elle ravine ma chair en émoi
L' anarchie barbare
S’empare de moi
Sa violence sauvage
Dresse mes seins
Lacère mes reins
Tisonnant mon ventre
De sa langue de feu
Ma tête déborde
Du vertige de toi
Ton absence
Creuse sa brèche
Au confluent de mon delta
Et mes mains dissidentes
Assouvissent de leurs doigts
Cette faim lancinante de Toi…
Elise
Le désir sauvage d'un corps à corps de gémissements, de sueurs, d'amour, de révolte, de soupirs, de caresses,et d'empoignes...
Tendres bises Elise
Félix
coucou,
comme a votre habitude, une superbe photo sensuelle a souhait et un texte plein d'amour et de désir,parcourir vos pages reste un pur plaisir,
D&V
Beaucoup de jolies clichés sur votre blog, si vous avez quelques contribuions disponibles, nous serions ravis de les ajouter sur notre site.
http://couples-coquins.fr (site 100% gratuit, ou l'on peut partager de bon moments ;-) )
Gros bisouxx et @ bientôt ...
K.
Elise tes mots me donnent faim, et en inspirent d'autres que Verlaine dans son recueil "Femmes" dit mieux que moi. Je le dédie à ta sensuelle et vénéneuse beauté... Baisers libertins incontrôlés.
Croise tes cuisses sur ma tête
De façon à ce que ma langue,
Taisant toute sotte harangue,
Ne puisse plus que faire fête
À ton con ainsi qu'à ton cu
Dont je suis là jamais vaincu
Comme de tout ton corps, du reste,
Et de ton âme mal céleste
Et de ton esprit carnassier
Qui dévore en moi l'idéal
Et m'a fait le plus putassier
Du plus pur, du plus lilial
Que j'étais avant ta rencontre
Depuis des ans et puis des ans.
Là, dispose-toi bien et montre
Par quelques gestes complaisants
Qu'au fond t'aimes ton vieux bonhomme
Ou du moins le souffre faisant.
Minette (avec boule de gomme)
Et feuille de rose, tout comme
Un plus jeune mieux séduisant
Sans doute mais moins bath en somme
Quant à la science et au faire.
0 ton con! qu'il sent bon! J'y fouille
Tant de la gueule que du blaire
Et j'y fais le diable et j'y flaire
Et j'y farfouille et j'y bafouille
Et j'y renifle et oh! j'y bave
Dans ton con à l'odeur cochonne
Que surplombe une motte flave
Et qu 'un duvet roux environne
Qui mène au trou miraculeux
Où je farfouille, où je bafouille
Où je renifle et où je bave
Avec le soin méticuleux
Et l'âpre ferveur d'un esclave
Affranchi de tout préjugé.
La raie adorable que j'ai
Léchée amoroso depuis
Les reins en passant par le puits
Où je m'attarde en un long stage
Pour les dévotions d'usage
Me conduit tout droit à la fente
Triomphante de mon infante.
Là, je dis un salamalec
Absolument ésotérique
Au clitoris rien moins que sec,
Si bien que ma tête d'en bas
Qu'exaspèrent tous ces ébats
S'épanche en blanche rhétorique,
Mais s'apaise dès ces prémisses.
Et je m'endors entre tes cuisses
Qu'à travers tout cet émoi tendre
La fatigue t'a fait détendre.
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.