SANS DESSUS......DESSOUS.......

M3
Même en fermant les yeux
Rien qu'en pensant à elle

abricot
Son corps si harmonieux
Chatouille mes prunelles

(Marc)

             
Jeu 4 mar 2010 8 commentaires
Le merveilleux est toujours beau, il n'y a même que le merveilleux qui soit beau. (A. Breton)
Fantasmagories - le 04/03/2010 à 13h08
c'est adorable comme déclaration !
j'aime bien les photos, surtout la première ;-)
Vallis - le 04/03/2010 à 15h08
Merci Vallis. Pour une fois, c'est moi qui tiens la vedette... mais je sens que je ne vais pas tarder à repasser second !
Marc
Elise et Marc - le 04/03/2010 à 15h50
Je me demande s'il n'y a que tes prunelles que ca chatouille    bisous coquins a vous deux 
miss - le 04/03/2010 à 18h55
C'est ce qui s'appelle caresser du regard... Jolies photos, bises à toi, amitiés à Marc...
Valmont - le 04/03/2010 à 21h50
Comment pourrait-on oublier une si jolie raie?
Laurent - le 05/03/2010 à 01h31
Poids des mots sans choc des photos  ( lol ) : merveilleuse déclaration d'amour au fil des pages ...

Petit cadeau pour toi, Marc ... avec mes bisous doux du matin ... et plein d'autres très tendres pour ma soeurette Elise.
LO


Le Nouvel Homme

Elle venait de lui déverrouiller les mains
De ses doigts émincés d’aurore - tendresse.
Il en fut nu d’innocence devant elle.

Alors, il lui a dit :

“Tu sais, j’ai quitté à l’instant
Les plages bouleversées des souvenirs
Le regard à l’envers de la mémoire.
Tout l’inutile destin enfin
D’un peuple poussière d’os
Amer en son ombre
Et vieux de son malheur profond.

Regarde,
Comme le tout premier homme
Du premier matin du premier jour
Je suis la nudité acquittée
Et sous tes yeux relevés
Je n’ai plus honte de mon corps dérompu
Et de mon cœur à tous les vents.

La vieille malédiction effacée
J’ai désormais pour patrie
Tes seins chauds et sensibles,
Ton ventre clair choyé de l’intime
Tes yeux d’eau de roche,
En absence de promesse,
Où les illusions n’ont plus cours,

Mais où le désir est terre de liberté
Où la Vie s’étend sur une toile blanche
Quand je caresse tes reins,
Où quand ta déchirure
Est porteuse de fruits,
L’amour tout entier n’est plus
Que le temps béni de la fête …

François d'Alayrac

 


LO - le 05/03/2010 à 09h30
tres jolie a regarder
phalus - le 09/03/2010 à 15h42