SANS DESSUS......DESSOUS.......

oreille
Peut-on "voir" les yeux fermés ? Nous vous proposons aujourd'hui l'expérience.
Racontez-nous quelles images surgissent dans votre esprit à travers ce que vous entendez...
Les meilleurs récits recevront une image totalement inédite d'un de nos batifolages de printemps annonciateur d'un été chaud...

Mer 24 mar 2010 5 commentaires
je triche un peu, car en ayant quelque unes de vos videos sur cam sexy, les images viennent toutes seules, tout naturellement   bisous coquins 
miss - le 24/03/2010 à 18h31
Je ferme les yeux...
Je pense à ELLE...

Je raconterai... après !!
Sourires...

Allo? Vous entendez?
Titia D'or - le 25/03/2010 à 10h09

Des notes légères de Vetiver s’insinuent lentement sur ma peau, la recouvrent comme des perles de rosée … diluant petit à petit les effluves de Giorgio sur mon corps … pour en extraire un mélange aphrodisiaque sublimant nos attentes. Je sens sa bouche sur mes chevilles, ses mains qui les étreignent, remontant lentement vers mes genoux. Douce et ardente progression entre mes cuisses écartelées vers ma chatte ruisselante …

 

Narrer ce que l’on voit et entend en fermant les yeux est un exercice périlleux : il met en état de transes !

Au secours, Jo n’est pas près de moi ! Comment je vais éteindre les feux maintenant ?

Lol !

 

Bisous très doux à vous deux.

LO

 

 

LO - le 25/03/2010 à 13h38
@LO:
Comme le chantait Jacques Brel:

"On a vu souvent
Rejaillir le feu
De l'ancien volcan
Qu'on croyait trop vieux
Il est paraît-il
Des terres brûlées
Donnant plus de blé
Qu'un meilleur avril"..


Bref, pas d'âge pour déclencher des incendies et diverses  manières de les éteindre...
Bisous doux
 
Elise et Marc - le 25/03/2010 à 15h45
Je vais tricher, mais sans exactement que ces gémissements lui ressemblent, ils me font forcément penser à une femme, toujours la même, celle à qui j'ai parlé aujourd'hui encore au téléphone...
Je pense à son corps soyeux quand il s'étire sous mes caresses comme une sirène ondulant pour me séduire autant que pour dompter nos plaisirs ;
je pense à ses palais et ses courbes de chair rose que l'on ne peut d'écrire en la plus belle prose ;
je pense à l'odeur de sa peau rassemblant les épices de l'Orient comme le sucré d'une orange tout autant ;
je pense à sa source sucrée où je m'épanche sans jamais me lasser,
je pense à ses antres moelleuses où j'ai envie de plonger en écrivant vers le délicieux pays de l'osmose amoureuse,
et je lui dédie en pensée ces vers, hommage secret... Bises à vous deux.

Croise tes cuisses sur ma tête
De façon à ce que ma langue,
Taisant toute sotte harangue,
Ne puisse plus que faire fête
À ton con ainsi qu'à ton cu
Dont je suis là jamais vaincu
Comme de tout ton corps, du reste,
Et de ton âme mal céleste
Et de ton esprit carnassier
Qui dévore en moi l'idéal
Et m'a fait le plus putassier
Du plus pur, du plus lilial
Que j'étais avant ta rencontre
Depuis des ans et puis des ans.
Là, dispose-toi bien et montre
Par quelques gestes complaisants
Qu'au fond t'aimes ton vieux bonhomme
Ou du moins le souffre faisant.
Minette (avec boule de gomme)
Et feuille de rose, tout comme
Un plus jeune mieux séduisant
Sans doute mais moins bath en somme
Quant à la science et au faire.
0 ton con! qu'il sent bon! J'y fouille
Tant de la gueule que du blaire
Et j'y fais le diable et j'y flaire
Et j'y farfouille et j'y bafouille
Et j'y renifle et oh! j'y bave
Dans ton con à l'odeur cochonne
Que surplombe une motte flave
Et qu 'un duvet roux environne
Qui mène au trou miraculeux
Où je farfouille, où je bafouille
Où je renifle et où je bave
Avec le soin méticuleux
Et l'âpre ferveur d'un esclave
Affranchi de tout préjugé.
La raie adorable que j'ai
Léchée amoroso depuis
Les reins en passant par le puits
Où je m'attarde en un long stage
Pour les dévotions d'usage
Me conduit tout droit à la fente
Triomphante de mon infante.
Là, je dis un salamalec
Absolument ésotérique
Au clitoris rien moins que sec,
Si bien que ma tête d'en bas
Qu'exaspèrent tous ces ébats
S'épanche en blanche rhétorique,
Mais s'apaise dès ces prémisses.
Et je m'endors entre tes cuisses
Qu'à travers tout cet émoi tendre
La fatigue t'a fait détendre. (Régals - Verlaine)
Valmont - le 25/03/2010 à 21h56