SANS DESSUS......DESSOUS.......
Je me suis souvent demandé si, étant devenu moine et ayant donc fait voeu de chasteté, j'aurais, croisant la route d'Elise
lors d'une journée portes ouvertes du monastère, résisté à ses charmes. La réponse est à l'évidence NON ! J'aurais du coup commis un péché mortel, contraint de jeter ma bure aux orties, le tout
sans le moindre espoir de rédemption en l'absence de tout remord !
Dieu merci, l'idée de devenir moine ne m'a jamais traversé l'esprit et renonçant pour toujours à devenir un saint, je choisis dès mon plus jeune âge de rentrer dans les désordres plutôt que dans
les ordres.
Dans notre civilisation Judéo-Chrétienne, la femme est la tentatrice, source de tous nos maux. En ce qui me concerne, le fait d'avoir croqué la pomme ne m'a apporté que du bonheur et l'image
étant souvent bien plus parlante qu'un long discours, celles-ci parmi d'autres aideront je pense à comprendre pourquoi...
(Marc)
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salut a vous deux fait longtemps pas eu de nouvelles de mes voisin et voisine de france ils vont bien moi pas pire faite
attention a vous je viens quelque vois sur le site camsexe bisous andré
J'ai un jour entendu parler d'un prêtre qui, ayant rencontré la femme de sa vie, a choisi, plutôt que de se défroquer, de se convertir au protestantisme et donc de devenir pasteur et marié ! Ca ne fonctionne pas avec les voeux monastiques, certes, mais j'aime beaucoup cette anecdote.
Quant à cette soi-disant tradition judéo-chrétienne, je crois qu'elle dépasse la simple religion et que les polémiques sur les femmes à voiler montrent qu'il s'agit plutôt d'une tradition ancestrale et commune à l'ensemble du bassin méditerranéen. Ceux qui n'arrivent pas à se tenir tranquilles devant une femme plus ou moins dévêtue et ne peuvent s'empêcher de voir en elle une tentation sexuelle, ressemblent plus ou moins à de vieux enfants pas très bien grandis qui ont mal dépassé leur complexe d'Oedipe et n'arrivent pas à imaginer une femme à la fois comme mère et amante. N'ayant pas renoncé à l'image idéalisée de leur mère pour vivre une sexualité riche et passionnée avec la femme qu'ils ont épousée, ils ont tendance à ne toucher celle-ci que du bout des doigts - ou du sexe, juste pour faire des enfants - et à chercher ailleurs la maîtresse qu'ils s'interdisent de trouver en leur femme - le vieux syndrôme de la maman et la putain - à tel point que toute femme qu'ils rencontrent devient, par réflexe, une proie, une salope possible pour assouvir leur instinct.
Se reconnaître subjugué par la beauté charnelle de la femme qu'on aime, se réjouir de n'avoir pas été moine avant de la rencontrer - ou de n'avoir pas été marié à une autre moins aimable ! - et, dans l'intimité, ne pas avoir peur de la traiter de noms délicieusement crus et de proposer toutes sortes de jeux coquins, c'est certainement lutter avec beaucoup d'efficacité contre cette sorte de perversion sournoise qui, en sous-entendant une relation sexuelle potentielle - empêche tout contact simplement humain avec une de nos soeurs d'humanité.
Soyez donc bénis pour ce témoignage ! ;-)
Bien belle tentation qu'Elise !
Et comment ne pas avoir envie de la croquer ...
Ma visite dans vos archives me procure de bien douces sensations !
comme je te comprends Marc, elle est superbe et votre couple magnifique!
moi, vois-tu j'ai eu ma période où je me serais bien vu en moine paillard
bises à vous deux
peter