SANS DESSUS......DESSOUS.......

Et Goethe a raison, l'amour, le plaisir, le sexe, ne sont ni à sens interdits, ni à sens unique, et devant nos sens s'ouvrent au fur et à mesure des pays doux et moelleux sans frontières, dont les espaces se créent au gré de nos en-vies et de nos frissons, commes les vagues sous le vent, et s'inventent au rythme de nos caresses, de gestes et d'imagination infinis, baisers à toi, amitiés à Marc ici aux portes finalement, mais oui, de l'incon-nue...

j'ai mal a la tete quand j'essaye de reflechir a l'infini, alors je vais juste regarder les images bon dimanche a vous deux

Il est vrai que nous sommes pris de vertige devant l'infini, devant les méandres de la philosophie. Lucid Beausonge avait trouvé un terme magnifique : la "Philosofolie" ; nous avons un besoin vital de balancer entre la sagesse de la raison et la folie de l'amour et du désir, non pas de manière irrésolue et stérile, mais pour que l'une et l'autre s'éclairent mutullement ; nous deviendrions fous de notre sagesse (ou de notre passion) sinon.

faut pas reflechir les gars ,faut y aller.......

bises

tania