SANS DESSUS......DESSOUS.......
La tendresse : un regard apprivoisé Cette main douce sur l'épaule posée Ton bras qui m'empêche de trébucher Et cette aimance qui survit au bûcher Il faut infiniment de tendresse Pour décliner les variations Et survivre aux saisons Des flots de tendresse Pour regarder par delà l'horizon Une vie pour apprendre Un amour pour comprendre Et toujours la tendresse Pour donner sans reprendre... ( Elise )
Mar 18 sep 2007
8 commentaires
Parfois les photos sont plus expressives que les mots… Cette photo est une d’elles…
le_webcameur - le 18/09/2007 à 13h07
Bourvil c'est vrai.... Daniel Guichard aussi en avait fait une chanson...
Elise et Marc - le 18/09/2007 à 14h46
Si une photo exprime la tendresse, c'est bien une photo comme celle-là,
La tendresse a l'avantage de se décliner, en plus, de bien des façons, elle est plus qu'un des aspects de l'amour : une approche qui peut s'applique en tout...
Bonne journée à toi Elise (à vous)
http://poesie-erotique.com/poeme.php?id=411
Baisers tendres.
valmont - le 18/09/2007 à 10h30
coucou et bien moi qui suis dans ma periode jolie mots je suis gaté !! un superbe texte plein d'amour et de tendresse bises a tous les deux
Les vertigiens - le 18/09/2007 à 17h53
Elise, tu es une poète....avec un Apollon comme ton homme je comprends ton inspiration....
Très très belle photo de vous.
bisoux tendre
Choupa
Très très belle photo de vous.
bisoux tendre
Choupa
choupachoup - le 18/09/2007 à 21h39
très beau poème illustré par un cliché très tendre et doux à regarder, mon émotion est telle que j'en ai la chair de poule!!!
Bisouxx tous doux de Céline
céline - le 19/09/2007 à 11h44
Très beau blog.
Nous sommes sans dessus......... dessous ! Merci pour cette beauté
Bises à vous
Lilou & Mic (Licilya) - le 21/09/2007 à 21h41
Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a plus beaucoup
Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas
Non, non, non, non
On ne le pourrait pas
On peut vivre sans la gloire
Qui ne prouve rien
Etre inconnu dans l'histoire
Et s'en trouver bien
Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question
Non, non, non, non
Il n'en est pas question
Quelle douce faiblesse
Quel joli sentiment
Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant
Vraiment, vraiment, vraiment
Le travail est nécessaire
Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire
Eh bien... on s'y fait
Mais vivre sans tendresse
Le temps vous paraît long
Long, long, long, long
Le temps vous parait long
Dans le feu de la jeunesse
Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses
Pour nous éblouir
Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien
Non, non, non, non
L'amour ne serait rien
Quand la vie impitoyable
Vous tombe dessus
On n'est plus qu'un pauvre diable
Broyé et déçu
Alors sans la tendresse
D'un cur qui nous soutient
Non, non, non, non
On n'irait pas plus loin
Un enfant vous embrasse
Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent
On a les larmes aux yeux
Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse
Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos curs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l'amour
Règne l'amour
Jusqu'à la fin des jours
Noel ROUX 1963 chanté par Bourvil