SANS DESSUS......DESSOUS.......
Au fil de pages sulfureuses, Elise décrit dans un style tantôt très poétique, tantôt très dépouillé, comment son héroïne Fabrizia s'y prend pour faire ronronner sa "chatte" le plus souvent et le plus intensément possible.
De Parme à Syracuse, de Venise à Florence, Fabrizia se livre sans retenue à tous les plaisirs de la chair sans pour autant en devenir l'esclave, consciente que son libertinage effréné n'est pas une fin en soi.
N'hésitez pas dès maintenant à faire part de vos impressions sur ce livre que vous n'avez pas encore lu puisqu'il n'est pas encore écrit. Ce ne sera pas la première ni la dernière fois qu'un critique donnera son avis sur une oeuvre dont il ignore tout mais dont les commentaires risquent, on le sait, d'influencer dans un sens ou dans un autre des milliers de lecteurs potentiels !
N'hésitez pas à suggérer des scènes érotiques particulières, bien que l'écrivaine soit sur ce plan dotée d'une imagination très fertile !
baisers
Prix fémina, je ne sais pas, mais meilleur prix féminin, franchement, ça mérite !!!! je ne me permettrais pas de critiquer, seulement d'admirer, et de rêver...
Bisouxxxxx
Aprés "Les dits de la Chatte Herley", aux effluves trés british, à l\\\'érotisme victorien, mêlant les romans de Shelley et les ballades des Beatles, avec une émotion toute parkinsonienne, Elise récidive.
Dans une Italie post-mussolinienne, Elise égrenne un par un les concepts de l\\\'Eros de Ramazzoti. Road-movie débridé, le roronnement de sa chatte fait penser à celui de sa trabant diesel, toujours assoiffée, jamais repue. Un scénario bien léché somme toute où aucun sens n\\\'est interdit. Elise ouvre ses cuisses parfumées à Parme, et son palais délicat à Venise fait orifice à Florence.
Merci à Jean Sablon pour son apparition toute spontannée à Syracuse, seul instant érotique du chapitre.
En résumé, ce prix est amplement mérité car au delà des aventures spectaculaires de l\\\'héroine, il dresse un panégérique de l\\\'amour cosmogonique qui est au Marx Brothers, ce que la soupe de moule est à Marcel Cerdan.
(Vous n\\\'avez pas tout compris???...pas grave, moi non plus...c\\\'est ça les critiques littéraires, de grand incompris incompréhensibles!)
Cette C'Hatte-Heureuse aux couleurs DE Parme est magnifiquement vendeuse pour ce livre aux parfums de miaulements, de douceurs caressantes et de coups de langue... de Chat... L'héroïne sait faire vibrer le lecteur-spectateur, et une coïncidence troublante m'anime ce matin...
J'ai en effet fait hier un reportage en Bretagne sur une vente aux enchères dimanche prochain d'une collection de Cocteau et Marais, deux artistes aimants s'il en est, et je les ai vus sortant de la première de la Chartreuse de Parme, à Paris après guerre...
J'avoue que cette Chatte-Heureuse là me tente un plus encore à découvrir... J'enregistre une pré-commande... Baisers gourmands.