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Quelques nouveaux sex-toys pour jouer au docteur avec Marc et approfondir le diagnostic; quelques mets fins et du champagne, des bougies parfumées et de la musique douce pour parfaire le décor et harmoniser toutes les sources de plaisirs afin que les cinq sens soient à la fête…
C’est tout ce que je souhaite, le plus beau des cadeaux je l’ai déjà : l’amour !
Des chiffres, encore des chiffres, toujours des chiffres ! Pas une semaine sans que les
médias ne nous abreuvent de statistiques, de pourcentages, de classements en tous genres.
Le sexe n'échappe pas à la règle et c'est ainsi que pour la énième fois on nous sert le hit-parade de la fréquence des rapports sexuels dans 41 pays. En 2005, les Grecs arrivent en tête avec 138 rapports annuels et en queue, si j'ose dire, les Japonais avec seulement 45 rapports (ne seraient-ils pas bridés ?) Quant aux Français, ils seraient sixièmes avec 120 rapports.
Bien entendu aucun mot sur la qualité de ces rapports ni sur leur durée. Toujours cette obsession du quantitatif, du toujours plus, de la performance, comme si l'amour se résumait à un nombre de "rapports", bien vilain mot sans doute emprunté au vocabulaire des turfistes. Personne ne peut garantir non plus la sincérité des réponses et il se peut que les Grecs soient surtout les champions de la vantardise.
A partir de là, tous ces couples qui se demandent s'ils sont dans la "norme", autre obsession de nos sociétés Occidentales formatées. Les Français peuvent-ils rattraper les Grecs ?
Si l'espèce humaine veut vraiment battre des records dans ce domaine, autant qu'elle s'inspire des rats capables de copuler 30 fois par jour en de brefs coïts de 5 secondes, ce qui fait 10.950 rapports par an. Dans cette terrifiante société Orwellienne que l'on ose à peine imaginer, on suppose que chaque mâle devra obligatoirement consommer quotidiennement plusieurs pilules de Viagra pour tenir le « coup » ....
En attendant, revenons en 2005... et pour ce qui est du mulot, contentons nous de cliquer dessus pour nous raconter nos jeux érotiques plutôt que de comparer stupidement nos pseudo performances.
Bien avant d'ouvrir un blog sur le Net, nous avions le fantasme de ces hôtels où les chambres disposent de miroirs sans tain permettant tantôt de voir d'autres couples dans une pièce voisine, tantôt de se laisser observer à son tour par des spectateurs complices. Bref, n'ayons pas peur des mots, de se livrer tour à tour à l'exhibitionnisme et au voyeurisme pour l'évidente excitation que cela peut procurer.
Encore faut-il s'entendre sur ces deux termes galvaudés qui n'ont pas forcément le même sens pour tout le monde.
Nous ne regardons jamais les autres à leur insu, armé d'une paire de jumelles planqués tels des paparazzi derrière un buisson comme le font certains :ceux que nous voyons savent que nous les voyons. Réciproquement, nous ne nous laissons voir que par ceux qui en ont envie et qui sont là pour çà. C'est le cas sur des blogs comme le nôtre où un panneau "pour adultes" annonce clairement la couleur, l'idéal étant bien sûr la réciprocité où la complicité devient alors totale et le plaisir double.
Tout cela pour dire qu'en dehors des blogs érotiques, des webcams coquines, des plages naturistes ou d'éventuels clubs libertins, nous sommes extrêmement pudiques et n'imposons jamais à personne notre nudité pas plus que nous ne volons celle des autres. Nos voisins n'ont aucune chance de nous voir nus ou en train de faire l'amour dans notre jardin ou sur notre balcon car ils ne sont pas impliqués dans ce jeu.
La nudité imposée est une provocation et le voyeurisme clandestin un viol et bien que ce soit la tasse de thé de certains, ce n'est pas la nôtre. Complicité, transparence, consentement partagé, interactivité entre adultes restent les maîtres mots de notre libertinage, ce qui n'exclut nullement parfois une très grande hardiesse dans nos écrits ou nos images ... nous l’avons souvent prouvé et le reprouverons encore ! Et voici repoindre à nouveau le fameux débat "érotisme/pornographie" qui nous agace au plus haut point tant il est usé et archi-usé...nous le laissons aux Tartuffes qui se voilent la face chaque fois que l'on parle de sexe mais qui, en parfaits hypocrites refoulés, regardent par le trou de la serrure des salles de bain...
Vous avez tous connu ces interminables soirées diapos chez des amis retraçant leurs
vacances à Palavas-les-flots ou encore leur visite du château de Versailles. A part eux, tout le monde
baîlle d'ennui et regarde discrètement sa montre.
En revanche, chaque fois que nous annonçons à nos amis intimes notre soirée diapos à nous,
aucun ne manque à l’appel et certains ne veulent même plus partir alors qu’il se fait tard et que la
projection est depuis longtemps terminée !
Nos images semblent à l’évidence les captiver bien plus qu’une vue de mémé assise face à la mer à l’ombre d’un horrible parasol jaune fluo ou celle du guide trilingue débitant sans conviction pour la énième fois le même discours à des touristes ébahis.
Les gens de télévision savent depuis longtemps ce qui fait grimper l’audimat. Le film X sur Canal fera toujours plus de score que le long métrage austro-hongrois en VO sur Arte…
Culture et luxure seraient-elles donc antinomiques ? Pour nous, elles sont surtout complémentaires…
Le festival de Cannes, événement ô combien culturel, est prétexte à bien des orgies nocturnes…. Quant à Versailles, les murs pourraient en raconter de belles sur les galipettes débridées de l’aristocratie de l’époque…Ceci n’empêche pas cela.
Bref, vous savez ce qu’il vous reste à faire pour aussi intéresser votre public à la culture. Il vous suffit simplement de glisser ici et là dans votre série « spéciale » une photo de la tour de Pise, du gouffre de Padirac ou du pont du Gard…
N’oubliez pas enfin de faire garder vos enfants ou de les coucher tôt, cela va de soi !
Dès que tes yeux se posent sur moi, le même sortilège opère…
Tous mes sens s’enflamment. Tes caresses sont autant de calligraphies: pointillés subtils révélant un corps d'infinitude ou écriture cursive qui, de traits pleins en déliés, inaugure des anfractuosités secrètes et redessine le profil des pistes sillonnées.
Tes mains agiles et ta bouche fiévreuse ont tôt fait d’éveiller cette troublante sensation de chaleur à l'épicentre de mon intimité. Et voici ce brasier irrésistible qui gonfle, crépite dans le creuset des lombaires et se fait houle, mettant mes hanches en mouvance.
Par une étrange alchimie, le feu d'abord moulé à la forme de mon pubis se met à couler - or en fusion – vers mon ventre et jusqu'à la digue érigée de mes seins.
Ma gorge module en arpèges le plaisir crescendo… Puis, dans un feulement rauque, mon corps tout entier se convertit alors à l'extase flamboyante.
Embrase moi longtemps
Embrase moi encore !
Cette Elise de bronze
Dans son palais antique
N’est que virtuelle
Et ne vaut pas la réelle.
Jupiter lui-même
Quittant un instant son Olympe
Préférait souvent honorer une simple mortelle
Que jalousaient nymphes et déesses
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