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elisetmoi

           Loin de toi, enveloppée de solitude, vêtue de silence, j’ai arpenté les heures, les minutes et traqué les secondes dans un désert de grisaille et de platitude.
Le temps englué au cadran des horloges…
Le spleen, ton absence si cruellement présente…
La vie accablée s’enlisant à l’ornière des jours. Une seule pensée, obsédante : l’oasis d’un instant de pause pour consulter tes SMS et tout mon espoir concentré vers un seul objectif : entendre ta voix le soir au téléphone, me bercer de tes mots et  te voir apparaître sur l’écran de l’ordinateur..

Atterrissage…… 
Enfin tu surgis à ma vue… je crains encore que cela ne soit qu’un mirage…
Je cours vers toi, tu allonges ta foulée.
Contact : tes bras s’ouvrent, je m’y jette en naufragée; dès lors amnésique de la souffrance, recrée par ton amour nourricier.
Nous échangeons un long baiser et c’est un nouveau baptême.

Nous voici à l’orée du bonheur…
Sur le seuil de notre maison tu me soulèves entre tes bras comme une jeune épousée et m’emportes vers la chambre.

Le monde entier s’efface et plus rien d’autre n’existe hormis nous.

Au ciel de lit, Eros jubile…

 

OMNIA VINCIT AMOR*

(L’Amour triomphe de tout)


         

                                                                

                                            

 
 
Samedi 3 septembre 6 03 /09 /Sep 00:00
- Par ELISE ET MARC - Publié dans : elisetmoi
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Pour communiquer par webcam, nous avons bien sûr MSN. Mais pour ne pas être importunés par des appels intempestifs de notre liste de contacts, nous choisissons Netmeeting, beaucoup plus archaïque mais encore efficace.
21h50: j'envoie un mail à Elise pour lui communiquer mon IP.... Je patiente 5 minutes, Netmeeting activé et webcam allumée. Ca sonne ! C'est Elise qui m'appelle. Je clique et ça y est, je la vois, miracle de la technique alors que plus de mille kilomètres nous séparent ! Elise est vêtue d'un chemisier turquoise et d'une jupe noire. L'image est parfois un peu saccadée et me fait penser aux liaisons avec la station orbitale....heureusement Elise reviendra bien avant les astronautes !
En revanche, pas moyen de se parler, problème de micro apparemment insoluble. Nous nous servons donc du clavier. Pas longtemps car tout à coup, devinant mes pensées, Elise enlève lentement son chemisier puis sa jupe. En se balançant lascivement, elle tourne le dos à la caméra et commence à dégrafer son soutien-gorge rouge et noir. Puis, d'un geste précis, elle fait glisser son string sur ses fesses, puis ses cuisses...jusqu'à tomber au niveau des chevilles.
Alors, elle se retourne et se met à se caresser de sa main droite...malgré le manque de lumière, j'aperçois le mouvement régulier de ses doigts dans son sexe que je devine déjà très humide.
Je suis terriblement excité et à mon tour je me déshabille pour me caresser devant la webcam. Elise aime me voir me masturber et il lui arrive de me demander de le faire juste, dit-elle, pour le plaisir de me regarder... Je ne me fais pas prier surtout si, de son côté, elle en fait autant, ce qui est le cas en ce moment même... La suite de cette "visio" érotique se devine et je laisse libre cours à votre imagination...Une vague de plaisir nous submerge presque simultanément et nous restons pantelant quelques minutes regrettant de ne pouvoir nous serrer l'un contre, la tendresse cédant le pas à la violence du plaisir. Aussi excitante que puisse être cette autre manière de s'aimer, la webcam a quelque chose de frustrant.... On ne peut pas tout demander à la messagerie instantanée et pour une fois, il nous tarde de goûter à nouveau au "réel"....toucher Elise, la sentir, me fondre en elle....c'est pour bientôt, très bientôt... en attendant, cette copie d'écran restera ma carte postale préférée...
 

 

 
Mercredi 31 août 3 31 /08 /Août 00:00
- Par ELISE ET MARC - Publié dans : elisetmoi
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Je viens d'accompagner Elise à l'aéroport. Séparation toujours difficile, sensation de vide, de manque, même si l'absence ne devrait être que de quelques jours. Heureusement, la technologie moderne nous permet de rester en contact quel que soit l'éloignement car Elise a bien pris soin d’emporter un PC portable dans sa valise. Nous pourrons nous écrire, nous parler mais aussi... nous voir grâce à la webcam et à la messagerie instantanée. En dehors des contacts téléphoniques, nous avons donc convenu de nous "retrouver" dès ce soir vers 22 heures, Elise dans sa chambre d'hôtel et moi chez nous. Nous aurons tellement envie l'un de l'autre que la conversation a de très fortes chances de devenir de plus en plus coquine....sans doute, au bout d'un moment, accompagnée de gestes érotiques de moins en moins sages ...C’est en tous cas le programme que nous nous sommes fixés en roulant vers l’aéroport.
Nous étions déjà excités rien que d’en parler d’autant plus, qu’une fois encore, ce petit jeu émoustillant ne se ferait pas qu’entre nous deux mais aurait un nombre indéterminé de témoins, connus ou inconnus : les visiteurs de notre blog ...
Marc     
                                         

                                    

                                             

Mardi 30 août 2 30 /08 /Août 00:00
- Par ELISE ET MARC - Publié dans : elisetmoi
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Ma valise est enfin bouclée…
J’aurai passé une bonne partie de cette journée à y ranger les vêtements que j’emporte …Je tourne et retourne, vais et viens, virevolte : surtout ne pas penser !
Ne pas songer à demain, lorsque tu vas, très tôt, me conduire à l’aéroport…
Je détesterai cette voix sirupeuse d’hôtesse annonçant l’embarquement immédiat pour Madrid….
Toi qui sais si bien ma détresse et mes larmes refoulées…
Moi qui lis ton désarroi dans ce mutisme inhabituel et dans ton regard un peu perdu …
Nous accrochons pudiquement un pâle sourire de circonstance à nos lèvres.
Tu m’entoures de tes bras et me serres contre toi. Je me blottis contre ton torse, m’arrime à tes épaules comme une naufragée en perdition…
Je t’aime : intemporellement, infiniment…
Je ne m’habituerai jamais à ces éloignements professionnels !
Je haïrai toujours l'instant de la séparation.
Dépareillée, orpheline, éperdue, je deviens « autre » :
Anémiée, incomplète, morcelée, inaccomplie...
Amputée de la meilleure part de moi-même : TOI !





 
Lundi 29 août 1 29 /08 /Août 00:00
- Par ELISE ET MARC - Publié dans : elisetmoi
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Le hall de gare grouille de silhouettes qui émergent d’un invraisemblable amoncellement de bagages placés sous haute surveillance policière.
23h l’air est moite : la chaleur accumulée d’une journée caniculaire s’électrise, alimentée par la hâte fiévreuse des vacanciers en partance.
La seule évocation de ce voyage m’a particulièrement émoustillé ces derniers jours et la simple vue de ta petite robe blanche vaporeuse dont la transparence discrète rehausse ton bronzage déclenche en moi une cascade d'images indécentes annonciatrices de futurs ébats débridés.
Tu dois déjà sentir pointer dans mon regard qui brille une excitation aussi forte que celle que je devine chez toi.
Notre train est à quai. L’employé des wagons-lits, raide comme un majordome dans son impeccable tenue, nous salue et vérifie nos billets. Je profite de l’instant où tu montes pour glisser furtivement une main dans ton  entrejambes que je découvre avec ravissement libre de toute entrave textile et déjà bien humide… J'imagine que tu ne portes pas non plus de soutien-gorge car tu sais que j'adore te voir arborer une tenue minimaliste surtout dans un lieu public. Je m'attends toujours à ce que, à la faveur d'un courant d'air inopiné, un passant n'aperçoive un bref instant une partie de ton intimité et cette provocation des autres mâles, loin de me rendre jaloux, ne fait que décupler mon désir pour toi.
Me retournant, je croise le regard troublé de l'employé... Je parie, à coup sûr, qu’il a bien entrevu ce que la bienséance et la moralité réprouvent !
Nous voici dans notre compartiment. La climatisation nous plonge dans une oasis de fraîcheur, propice à la relaxation.
Le train démarre lentement. Tu jubiles comme une petite fille mutine.
Le moment parfait pour déboucher la bouteille de champagne préalablement réservée. Nous trinquons, déjà excités par le parfum d’aventure que revêt cette escapade en amoureux.
Le convoi a pris sa vitesse de croisière et nous esquissons, pris dans ce léger tangage, un slow approximatif.
J’aime cet apprivoisement des corps à travers le tissu et le jeu de nos mains curieuses qui décryptent les formes comme dans une lecture en braille.
Le lieu, le contexte et ce balancement voluptueux conjugués m'incitent à approfondir l’exploration. Mes caresses se font plus appuyées et plus précises, jusqu’à ce que mes mains viennent se mouler sur ton mont de Vénus gonflé par le désir.
Nos bouches se joignent dans un baiser profond et langoureux.
Nous fermons les yeux pour mieux sentir cet embrasement qui nous gagne.
Je resserre mon étreinte et nos respirations s'accélèrent.
La fascinante attraction charnelle nous taraude … Ton corps s'abandonne, avide de jouissances plus intenses.
Tu défais ma ceinture, abaisse mon pantalon avec une lenteur exaspérante.         
La hampe congestionnée qui se dresse fièrement dresse mon slip en chapiteau. Tu me libères de tes doigts furtifs et te voici à genoux, petite gourmande, qui goûte à son sucre d’orge, le parcourant d’une langue agile et légère, avant que de le mettre en bouche avec délectation.
Je râle de plaisir au rythme du va -et -vient de tes lèvres  sur mon membre rigide  tandis que tes ongles griffent mes fesses et le bas de mon dos. Je plaque fortement ta tête contre mon bas-ventre puis je m’éloigne de toi et retrousse  allègrement ta robe pour te coucher sur le lit inférieur. Tu te laisses aller, paupières mi-closes comme dans un film au ralenti, lascive, totalement offerte.
Le doux balancement de nacelle, cadencé par les « toum-toum » assourdis que le convoi répercute à chaque jonction des rails, s’harmonise maintenant avec ma bouche butineuse qui explore ton orchidée sauvage…
Les mouvements conjugués de ma langue et de mes doigts ne tardent pas à te faire jouir une première fois et je ressens à cet instant une volupté cérébrale aussi forte sinon plus que le simple orgasme physique que mon corps réclame.
Après un court instant de répit, tu me murmures dans un souffle : « viens » !
Je ne me fais pas prier face à  tes reins que tu viens de cambrer pour mieux m’accueillir dans un halètement syncopé. Je te pénètre doucement tandis que tes jambes relevées se croisent dans mon dos pour mieux me retenir. Je sais que tu aimes, après les douceurs soyeuses de ma langue, cette pénétration ample, forte et profonde. Tel un sourcier, je fais jaillir ta fontaine et, en quelques bordées de plus en plus violentes je te ramène  vers une nouvelle extase en serrant mes lèvres pour ne pas m’épancher sur l’instant.
Ta tête roule, tu m'entraînes dans un tourbillon qui te mène en un instant vers une   nouvelle acmé en t'arrachant ces feulements de chatte en chaleur qui m'électrisent…
Je franchis alors à mon tour les portes du septième ciel dans un grand cri assourdi par l’oreiller, mon corps arqué sous l’extase flamboyante. 
A cet instant, étrange synchronicité, le train siffle longuement comme pour fêter notre amour…
Repus de jouissances, nous nous enlaçons tendrement pour sombrer dans un demi sommeil.... ce n'est pas fini, nous n'arriverons à destination que dans plusieurs heures et il nous reste du temps pour nous livrer encore et encore à
d'autres orgies amoureuses... Elise, je t'aime...

 

Vendredi 26 août 5 26 /08 /Août 00:00
- Par ELISE ET MARC - Publié dans : elisetmoi
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" Toutes les chutes sont mauvaises....
Sauf les chutes de reins ! " 
Jean Loup Chiflet
 


 
Vendredi 26 août 5 26 /08 /Août 00:00
- Par ELISE ET MARC - Publié dans : elisetmoi
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Lettres à Elise:

B comme Bouche
C comme Couche
D comme Douche

(Marc)


Mercredi 24 août 3 24 /08 /Août 00:00
- Par ELISE ET MARC - Publié dans : elisetmoi
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L’Amour est cette ombre parfumée qui ne vous quitte jamais.
Vivre ce lien
Comme si l'autre était l'ombre vivante de soi
Et soi, l'ombre vivante de l'autre...
(Hafid Aggoune "Les Avenirs")

Passer des "sex-toys" à la "rentrée" est ce que l'on appelle une association d'idées... bonne rentrée...

Lundi 22 août 1 22 /08 /Août 00:00
- Par ELISE ET MARC - Publié dans : elisetmoi
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Lors de "chats", on nous demande parfois si nous utilisons des sex toys. Cette question n'étant pas plus taboue qu'une autre, nous répondons OUI !
Pendant très longtemps, ces objets ont été considérés comme honteux et un célèbre catalogue de vente par correspondance que nous ne nommerons pas vendait des godemichets qu'il nommait pudiquement "vibreurs relaxants", censés être utilisés sur la nuque ou le cou...(sic)
Quelle hypocrisie !
Aujourd'hui, les sex-toys s'affichent au grand jour et sont même devenus "tendance".... au point qu'en Octobre, Madame Catherine Millet devrait sortir un livre intitulé "Love toys", ce qui fait nettement plus poétique mais pas moins mercantile. En ce qui nous concerne, nous n'utilisons pas de sex-toys pour suivrela mode mais simplement parce que ça nous fait plaisir. Et nous ne voyons donc aucune raison de ne pas vous les montrer, d'autant qu'ils n'ont rien d'extraordinaire.
Quant à savoir comment nous nous en servons, ceci est une autre histoire... est-ce tabou de le raconter ou de le montrer et faut-il nécessairement entamer une fois de plus le fameux débat érotisme/pornographie pour se donner bonne conscience ?
Si vous nous connaissez un peu vous devinez déjà notre opinion mais avant que nous ne la rendions publique, nous aimerions avoir la vôtre....
Samedi 20 août 6 20 /08 /Août 00:00
- Par ELISE ET MARC - Publié dans : elisetmoi
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C'était hier et c'est demain
Je n'ai plus que toi de chemin
J'ai mis mon cœur entre tes mains
Avec le tien comme il va l'amble
Tout ce qu'il a de temps humain

Nous dormirons ensemble

Mon amour ce qui fut sera
Le ciel est sur nous comme un drap
J'ai refermé sur toi mes bras
Et tant je t'aime que j'en tremble
Aussi longtemps que tu voudras

Nous dormirons ensemble
Louis Aragon


Jeudi 18 août 4 18 /08 /Août 00:00
- Par ELISE ET MARC - Publié dans : elisetmoi
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