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Ne jetez pas vos photos ordinaires telles qu'on en voit des milliers sur le web. A défaut d'avoir la moindre valeur esthétique, de
simples citations pour les accompagner peuvent leur conférer une dimension culturelle qu'on ne leur soupçonnait pas !
"L'exhibitionisme sera culturel ou ne sera pas" aurait pu dire André Malraux. Démonstration.
Quel homme a jamais pu être sûr de ce qui se passe derrière son dos ?
(Julien Green)
Fesse, queue, doigt, advienne que pourra.
Il ne s'agit pas d'être ému, il s'agit de faire face.
Notre phallus devrait avoir des yeux.
Grâce à eux nous pourrions croire un instant que nous avons vu l'amour de près.
NB: Attention: l'une de ces citations pourrait faire partie des
sujets du Bac Philo 2009 et ceux qui, en sus, auront choisi l'option Arts Plastiques, section "nu masculin", pourraient avoir à croquer ce modèle.
Et si la fée du lac s'était appelée Elise au lieu de Viviane ?
Et si le véritable nom de Lancelot était Marc ?
Et si la photographie avait existé à l'époque du roi Arthur ?
L'avantage de la légende sur l'Histoire, c'est que tout est modifiable à loisir et il est possible qu'un promeneur égaré comme nous en ce lieu magique ne jure, face à un auditoire incrédule, avoir aperçu cet après-midi là la magicienne en personne dans le plus simple appareil...
Dormir avec toi...
Enlisée au ressac des draps
Lovée, animale, contre toi
Et naufrager entre tes bras
Dormir avec toi
Quand tu me parles tout bas
Avec tes mains assoupies
Aux ellipses inassouvies
Dormir avec toi
Pour ta peau salée
Tes baisers sucrés
Et la fièvre sacrée
Coucher avec toi
Du soir jusqu'au matin
Vierge furieuse
Et tendre catin
Dans la sueur et le satin
Coucher avec toi
Pour l'amour fauve
Et le sabbat sacrilège
Entre damnation
Et rédemption
Coucher avec toi
Pour ces souffles haletants
Qui hachurent le temps
Et nos corps chancelants
Après l'hymen flamboyant
Dormir entre tes bras
Pour tes rêves
Dont je ne suis pas
Et pour ces songes
Qui m'absentent de toi
Dormir avec toi...
Pour le bonheur radieux
De m'éveiller auprès de toi !
( Elise)
Au début, je ne savais pas , enfin je ne savais pas très bien et, à vrai dire...je me perdais dans ce dédale où curiosité, interrogations, espoir et raison se recoupaient à angle droit.
Je me souviens de ces premiers rendez-vous qui déconcertaient nos pas en nous précipitant l'un vers l'autre avec ces bras écartelés, si avides de tendresse.
Je me souviens de ces premières étreintes affamées de caresses et de ces égarements furieux au creux d'un lit de hasard.
Et plus encore, je me rappelle ces séparations qui, après la plénitude tutoyée,
nous dépareillaient pour nous abandonner -plus fragiles qu'avant - à une cruelle solitude.
J'ignorais alors si notre rencontre aurait un lendemain ou bien si elle traverserait les saisons : celle des soleils lumineux, celle des brouillards givrants ou encore celle des orages sauvages.
J'espérais en déraison le ''peut être'' de ce bout de route que -disais tu- nous pourrions faire ensemble ...
Mais je ne voulais plus de ces amours « prêt-à-porter » dans lequel chacun se glisse au seul prix d'une petite retouche hâtive : intrépide, j'ambitionnais deux coeurs griffés haute couture !
Alors, j'ai ressorti les aiguilles : certes, elles étaient un peu émoussées mais elles savaient encore tricoter de la tendresse et imaginer des ''points fantaisie''.
Parfois, une maille filait et j'essayais de la rattraper, ignorant si cet amour fait sur mesure serait seyant et léger à porter pour chacun de nous deux.
J'ai douté, espéré et parfois désespéré de ces ajustements incertains pour une création originale que je voulais autant à ma mesure qu'à ta propre envergure...
De mes petites mains, j'ai faufilé, surfilé, cousu, décousu et retaillé encore l'étoffe de ce ''Nous '' dont la texture et les mensurations changeaient à chaque essayage.
Peu à peu, tu m'as rejointe afin de démêler tous ces écheveaux de fils crochetés aux méandres de nos mémoires et patiemment nous avons appris ensemble à défaire les nœuds flétris dans nos pelotes.
Ainsi ... de fil en aiguille, avons-nous tissé à quatre mains le canevas d'un amour qui nous ressemble de plus en plus.
Il m'arrive de me retourner sur toutes ces années passées et d'être encore étonnée du chemin parcouru.
Comme cela me semble lointain aujourd'hui et j'en sourirais presque si je ne me préservais de cette folie de croire l'ouvrage achevé !
Allez ! Viens mon cœur, mon doux, mon tendre : il nous reste encore suffisamment de laine à carder jusqu'à user nos doigts noueux en vieillesse.
Couleur sepia
Que j'aime ta couleur sepia...
Qui sait si, à l'instar des photos de nos ancêtres du début du siècle précédent, nos vidéos d'aujourd'hui ne prendront pas cette délicate couleur sepia qui les rend si touchantes jusqu'à paraître intemporelles...
Intemporelles mais pas éternelles, sachant que toute image finit, tôt ou tard, par s'effacer à tout jamais...
Mais n'est-ce pas justement leur côté fragile qui nous les rend si précieuses ?
'' J'ai tendu des cordes de clocher à clocher
Des guirlandes de fenêtre à fenêtre
Des chaînes d'or d'étoile à étoile
Et je danse ''
Arthur Rimbaud
L'insouciance est l'art de se balancer dans la vie comme une escarpolette :
Sans s'inquiéter du moment ou la corde cassera.
(Honoré de Balzac)
Personne n'ignore que la vue joue un grand rôle dans l'excitation sexuelle et ce ne sont pas les
1 407 888 visiteurs de notre blog qui diront le contraire !
Homos sapiens est cependant battu sur ce terrain par la mouche.
L'oeil de cet insecte est en effet composé d'un grand nombre de facettes appelées "Ommatides". Ce sont des récepteurs qui font que l'animal ne voit pas une seule image du même objet mais une multitude, comme l'illustre parfaitement la photo ci-dessus ...
On comprend mieux, dès lors, pourquoi la mouche femelle est si excitée à la vue de la mouche mâle. Croyant avoir affaire à une cohorte d'admirateurs, elle s'accouple en fait des dizaines de fois avec le même et il n'est pas rare que ce dernier meure d'épuisement.
''Je rêvais d´une autre terre
Qui resterait un mystère
Une terre moins terre à terre
Je rêvais d´un autre monde
Où la terre serait ronde
Où la lune serait blonde''
Jean Louis Aubert
Les trous noirs restent à ce jour une énigme pour les scientifiques. On en sait fort heureusement un peu plus sur les "glory holes", nettement plus accessibles que les "black holes".
Ces derniers, plus modestes, ont pourtant avec les trous noirs des points communs: ils font tous les deux fantasmer et l'on y est littéralement "aspiré".
D'un côté de la cloison du glory, c'est "l'inconnu", de l'autre "l'inconnue...ou l'inconnu parfois" !
Nous faillîmes, lors d'une sortie libertine estivale, tenter l'aventure mais d'autres attractions tout aussi émoustillantes nous en empêchâmes...en plus, il y avait la queue !
Une prochaine fois peut-être, ne serait-ce que pour faire progresser la science dans la découverte de territoires méconnus qui ne présentent cependant aucun véritable danger si le préservatif est aussi de la fête.
Elles se sont agenouillées
Les belles comme les ordinaires
Au pied de l'homme à la tige dressée
Et ce chant comme une source
A boosté nos envies
Glory Glory Alleluia
Glory Glory Alleluia
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