Welcome
Soyez nos complices dans l'érotisme, la tendresse, la poésie, l'humour....
Contact perso: voir "contact" en bas de page
Vous êtes actuellement
à vouloir entrer ...
1Il y a personne(s) sur ce blog
Lorsque la vigilance devient gourde
Et les paupières lourdes
Les sens rendus fourbes
Imaginent d'autres courbes
Eros, à la bonne franquette
Décoche ses fléchettes
Et la voici, coquette
Rêvant de galipettes
Dans sa petite liquette
Une étrange frénésie l'atteint :
Les doigts accordés en quintette
Partent allegro en goguette :
Jouant une drôle d'opérette
L'index tire sur la gâchette
Le majeur lève sa houlette
L'annulaire prêche pour perpette
Et le petit doigt- pipelette
De l'aubaine, profite à la sauvette
Pour y faire trempette
Rien de neuf à l'horizon :
Il y a belle lurette
Que toutes les Ninon
Affranchies des garçons
Régalent, guillerettes
Leur mignonne gaufrette
Et jardinent leur gazon
Jusqu'à tomber en pâmoison
Par cette chanson digitale
Aux variations vaginales
( Elise)
Y'a toujours un côté du mur à l'ombre
Mais jamais nous n'y dormirons ensemble
Faut s'aimer au soleil
Nus comme innocents
Se moquant des saintes âmes qui grondent nos vingt ans
Un matin
Nous partirons sans bagages
Tous les deux
Sur une petite plage
Écrasés de soleil
Nus débarrassés
De ce mur
Qui nous volait nos voyages insensés
Amoureux jolis vagabonds de l'ombre
N'allez plus jamais vous cacher dans les coins sombres
Courez vite au soleil
Nus tout exaucés
Vous aimer à la barbe de ce monde
Indignés
Inondés
De clarté
Paroles: Maurice Vidalin, musique: Gilbert Bécaud,
Aux rives de mes hanches
Lorsque tu t'épanches
Des effluves de joie
Irriguent mon delta
Et dans le lit de ma rivière
Aujourd'hui comme hier
Dorment toutes ces alluvions
Comme autant d'allusions
A l'infini,
Je t'offrirai ma bouche
Je t'ouvrirai les bras
Je délierai ma couche
Pour en froisser les draps
Dans le souvenir et par la renaissance
De toi je veux garder l'efflorescence
Les traces de l'évanescence
Et de ton être toute la quintessence
A l'heure du jour mutant
Remonte encore le cours du temps
Et viens frayer entre mes jambes ...
( ELISE )
Plaignons les tourterelles qui ne baisent qu'au printemps
(Ninon de Lenclos)
De prime abord agnostique
Je me défausse ; sceptique :
Les spéculations analytiques
Deviennent alors anecdotiques
Et me voici soudain mystique
Devant ton vit aristocratique
Emue par l'étonnante balistique
Et sa mise en branle logistique
Ma quête toute eucharistique
Devient des plus acrobatiques
Ignorante de la casuistique
Et contre toute éthique
De pulsions boulimiques
En effusions dermiques
J'en décrypte, lubrique
La cabalistique sémantique
Bernique la dialectique !
Approche donc
Mon antinomique anatomique
Et révisons de la nique
La pyrotechnique
Et l'éclectique cinétique
Allez... Viens, vite
Que je t'astique !
Novembre 2024 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | ||||||||
4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | ||||
11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | ||||
18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | ||||
25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | |||||
|
Commentaires