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Sauras-tu jamais ce qui me traverse
Ce qui me bouleverse et qui m'envahit
Sauras-tu jamais ce qui me transperce
Ce que j'ai trahi quand j'ai tressailli
Ce que dit ainsi le profond langage
Ce parler muet de sens animaux
Sans bouche et sans yeux miroir sans image
Ce frémir d'aimer qui n'a pas de mots
Louis Aragon (Le fou d’Elsa)
" Aimer, c'est savourer, au bras d'un être cher,
La quantité de ciel que Dieu mit dans la chair... "
Bouge doucement, ne bouge pas du tout, mais tiens-moi,
Profond, immobile, profond en toi, pendant que glisse le temps,
Comme glisse la rivière au-delà des nénuphars,
Et que fusionnent et disparaissent les moments voleurs
En notre chair mortelle et éternelle.
Pour tous les absents lors de notre dernière webcam, voici un petit pense-bête à placer bien en vue sur votre bureau.
Eh oui, la Saint Valentin c'est demain !!!
Tous ces sexes dressés
Face à ta nudité
Loin de me choquer
Font toute ma fierté
(Marc)
Nos visiteurs ne sont pas seulement nombreux, ils sont aussi variés et c'est bien tout ce qui en fait l'intérêt. Certains réagissent par des mots, des plus crus aux plus poétiques. D'autres préfèrent s'exprimer par des images fixes ou animées, souvent très explicites ! Toutes ces formes d'expression traduisent un plaisir partagé et c'est bien ce qui nous ravit !
Témoin ce visiteur dont nous préservons l'anonymat et qui illustre à sa manière son émoi face aux charmes d'Elise... Je le comprends.... et vous ?
Les belles se dénudent
Et les loups sortent du bois
D'abord un, puis deux
Bientôt la meute entière
Point de grands méchants loups
Mais de gentils toutous
Qui savent que nos chéries
Ne sont pas des brebis
Et se mangent tout autrement
Qu'en y plantant les crocs…
(MERCI A VIC ET A GAB AINSI QU'A LEURS DEUX
LOUPS APPRIVOISES POUR LEUR COLLABORATION
ACTIVE A LA MISE EN IMAGE DE CE CONTE ANIMALIER)
Et t’offrir ma jeunesse au présent
Renouer avec ces balbutiements
De jouvencelle aiguisant ses dents
Je voudrais refaire le chemin à l’envers
En débusquer les pièges et les travers
Et, telle Pénélope, déliant l’ouvrage
Retricoter de l’enfance, le bel âge…
Las ! Jamais on ne revient
Sur hier qui nous fait otage
Mais appâte déjà demain
En promesse d’héritage
Et pourtant... par quel miracle
Ce passé était-il ce sûr oracle ?
Vers toi, il guidait mes pas
Jusqu’au creuset tendre de tes bras
Pour s'exhiber, tous les lieux sont bons ! Ce week-end, nous avons choisi le kiosque à journaux d'une grande avenue dans le centre-ville. Nous avons profité d'un moment d'inattention du vendeur pour simplement tirer la couverture à nous !
Pour en voir plus, vous devrez acheter les magazines en question. Comme il faisait un peu frais, nous nous sommes en effet aimés "sous" les couvertures. Bonne lecture....
« Embrasse-moi, baise-moi, serre-moi,
Haleine contre haleine, échauffe-moi la vie,
Mille et mille baisers donne-moi je te prie,
Amour veut tout sans nombre, amour n'a point de loi.
En vivant presse-moi de tes lèvres de roses,
Bégaie, en me baisant, à lèvres demi-closes
Mille mots tronçonnés, mourant entre mes bras »
Mes mains en conque se font écrin sous la douce rotondité de ces bogues …
J’en aime la douceur et la fragilité où patientent des milliers de soleils éclaboussés.
Tandis que la pulpe de mes doigts vient délicatement flirter avec cette pousse tendre au goût paradisiaque, mes lèvres en apprivoisent doucement la soyeuse texture.
Puis, ma langue s’enhardit de flâneries périphériques en digressions buccales comme autant de friandises offertes à mes papilles émoustillées.
Et la vie sauvage monte comme une sève printanière dans cette tige pour l’offrande d’une perle de rosée que je lèche comme un premier cadeau.
Alors ma gorge s’ouvre : chaude serre propice à la pleine éclosion…
Et sur l’écritoire de ton ventre, je calligraphie des incantations blasphématoires ; mes yeux rivés aux tiens dans la brûlante aimantation de ce plaisir cueilli aux creux de tes prunelles…
Je me délecte de cette turgescence majestueuse qui se dresse comme une prière vers mon regard pour en distiller toutes les saveurs subtilement fruitées ; usant et abusant de ce sucre d’orge jusqu’à l’usure totale et irréversible…
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