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Quand que le monde devient fou
A l'ombre des jours flous
Lorsque le temps indélébile
Entre mes doigts si vite, file
Vient ce vertige
De haute voltige
Qui de la vie, se montre avide
Et l'aimante vers le grand vide
Et je ne suis plus que brindille
Qui, dans la poussière brille ...
Alors je me fais transfuge
Entre tes bras : l'ultime refuge
Pour ne plus tourner dans le vide
Au carrousel des saisons
Et de leurs exhalaisons
Je choisirai toujours
La bascule de l'amour
(Elise)
J'adore
Quand tu arbores
Ces faux airs de matamore
En jouant, aux heures d'or
Les fiers matadors
Entrant dans l'arène
Pour prendre des mes reins
Les fragiles rênes
Devant l'impétrant toréro
La chambre devient paseo
Comme une faena de muleta
Entre les rouges draps
Olé
Clame le lit
Sous la houle
D'une fervente ''Olla''
De saccades
En cascades
Tu m'étrilles
Et me banderilles
Cherchant
En embuscade
L'alternative
Copulative
Avant que vienne
La subite tocade
De la dernière estocade
Lequel de nous deux
Remportera l'enjeu?
Le plus courageux?
Le plus astucieux ?
Si c'est toi
Je consens à t'accorder un orteil
Peut-être même... une oreille !
Mais si par cas
C'était moi... ?
Pourquoi
Tout à coup
Ton front se fait-il si soucieux?
Vois mon sourire malicieux :
Il n'a rien de séditieux
Car jamais, vois-tu
Je ne te couperai
La queue … !
Dans cette tendre guérilla
Festive comme une feria
Encore
Et en corps
Matadore-moi
Et que cette corrida
Soit une éblouissante
Mise … Amor !
(Elise)
Nul ne guérit de son enfance
''Sans que je puisse m'en défaire
Le temps met ses jambes à mon cou
Le temps qui part en marche arrière
Me fait sauter sur ses genoux
J'ai dans la bouche l'innocence
Des confitures du mois d'août
Celui qui vient à disparaître
Pourquoi l'a-t-on quitté des yeux
On fait un signe à la fenêtre
Sans savoir que c'est un adieu
Chacun de nous a son histoire
Et dans notre cœur à l'affût
Le va-et-vient de la mémoire
Ouvre et déchire ce qu'il fût
Belle cruelle et tendre enfance
Aujourd'hui c'est à tes genoux
Que j'en retrouve l'innocence
Au fil du temps qui se dénoue
Ouvre tes bras ouvre ton âme
Que j'en savoure en toi le goût
Le bonheur d'être et le temps doux
Pour me guérir de mon enfance ''
Jean Ferrat
Il fait DIM' anche
A l'ourlet de mes hanches
Quand sur ma peau blanche
Ton regard émoustillé s'épanche
Sur la soie havane
Tes doigts de caravane
Refont la route de Samarcande
( Élise)
Pour une vue grand angle cliquez sur l'image
Jérôme Touzalin
'' Une photographie , c'est un arrêt du cœur d'une fraction de seconde ''
Pierre Movila
''Ce que la photographie reproduit à l'infini n'a lieu qu'une seule fois ''
Roland Barthes
" Le ciel est haut, la terre est basse ;
il n'y a que la table et le lit qui soient à la bonne hauteur."
Proverbe Français
Au détour d'un chemin vagabond
Dans l'enclave verte des arbres :
Un banc de pierre
Veille, solitaire ...
Vigie de silence
Enracinée dans les herbes folles
Capturant le sillage
Des flâneurs égarés
Et leurs secrets ténébreux
Comme autant de murmures
Scellés dans le minéral
J'ai confié à ce banc
L'existence précaire,
Mes rêves d'absolu
Parmi les entrechats
D’ombre et de lumière
La vie éclaboussée
Aux persiennes du cœur
Et le temps à claire voie
Décalqué sur la peau ...
(Elise)
Sur mon dos en guise d'écritoire
Tes doigts de craie
Esquissent la trajectoire
Du subtil et du provisoire
Entre essentiel et dérisoire
Vers la fêlure de mes fesses
Tes mains vont a confesse
Le désir et l'ivresse
Mêlés en délicatesse
Et leur prière s'épanche
A l'amphore de mes hanches
( Elise)
Le corps déjà
En cavalcade
Je t'observe
A la dérobade
Tes mains
En partance
Ton esprit
En errance
Mes hanches qui balancent
En cadence
Travelling
Convoitise
Happening
Gourmandise
Un clic
Et c'est le déclic
D'un étrange trip
Vers un private clip
Mes doigts
Musardent
Et je deviens
Ta muse hard
(Elise)
Là où tu m'emmènes c'est la nuit, absolue et magnétique.
Sur mes yeux, un bandeau satiné efface le relief , gomme les couleurs et abjure le temps.
Ignorante et soumise,
Visage enfoui au rebondi duveteux,
Je gage l’improbable sur un futur fantasmagorique.
Chair entravée,
Cœur consentant,
Me voici livrée à ta fantaisie.
Corps en devenir,
Analphabète de mon sort ,
Embastillée de silence et de pénombre
Je guette l'arabesque d'un geste,
L’éblouissement du toucher
La renaissance et la métamorphose
Dans l'embrasement de cette citadelle d'ombre ...
( Elise)
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