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AFIN D 'ERADIQUER  L'AVALANCHE DE PUBS INTRUSIVES
ET LE RENVOI VERS DES SITES PORNOS QUE LE SITE NOUS IMPOSE 
UN SEUL MOYEN : LES BLOQUER EN INSTALLANT
LE LOGICIEL  "ADBLOCK PLUS " GRATUIT
   



 

 



 


 

On a beau scruter le ciel pour voir si les anges ont un sexe....


...difficile d'apercevoir quoique ce soit dans ces amas d'étoiles.



En tous cas, mon ange à moi n'a pas d'ailes mais je peux témoigner
qu' il a bien un sexe !
Mardi 18 août 2 18 /08 /Août 14:21
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : blog sexe des amis
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"Dans les mosquées, on enlève ses chaussures et on garde son chapeau
Dans les églises, on enlève son chapeau et on garde ses chaussures
Et après ça, on s’étonne qu’il y ait des rhumes ! "
 (Philippe Geluck  - Le tour du chat en 365 jours)


 "Le coup passa si près que le chapeau tomba"
(Victor Hugo - La légende des siècles)

 
"J’ai cru voir la fée au chapeau de clarté qui, jadis, sur mes beaux sommeils d’enfant gâté, passait en laissant de ses mains mal fermées, neiger de blancs bouquets d’étoiles parfumées"
(Stéphane Mallarmé)


"Son chapeau lui va comme un gant ! … Trouvez l’erreur "
(Daniel Prévost)

  "Il y a trois choses qu’une femme est capable de réaliser avec rien :
un chapeau, une salade et … une scène de ménage"
(Marc Twain)


"Je ne connais qu'une phrase en arménien : Chapgavaou mparononaz emgazuim qui signifie : j'irai rouler en voiture sur les bords de ton chapeau ...
Ce qui, entre nous,n 'est pa si simple que ça à placer dans une conversation ! "
(Jean Yanne)
Samedi 15 août 6 15 /08 /Août 09:02
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : les blogs persos
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Parmi les différentes rubriques des sites de rencontres, la rubrique "profil du membre" m'a toujours interloqué.
Quel profil ? A moins d'être une étoile de mer, n'en avons nous pas tous au moins deux, le droit et le gauche ? Et pourquoi jamais "face du membre" ?
Dans l'incertitude, le mieux est encore de mettre les deux, ce que je fais, prenant ainsi exemple sur les Egyptiens de l'époque des phararons qui, sur leurs fresques, ne privilégiaient aucun profil.  
Si vous aimez le profil gauche, tapez 1, si vous aimez le profil droit, tapez 2, si vous aimez les deux profils, tapez 3
.

 
Tapez mais pas trop fort quand même ! Un petit coup de martinet de la main experte d'Elise, OUI !
Un coup de ceinturon façon père de Michael Jackson, NON !
(Marc)
Jeudi 13 août 4 13 /08 /Août 14:26
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : Couples libertins
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Dans le Banquet de Platon, le mythe d'Aristophane explique que l'humanité fut jadis coupée en deux et que depuis, chacune et chacun cherche à retrouver sa "moitié d'orange".
Mais pourquoi "d'orange" ? Ne serait-ce pas plutôt la moitié de cet autre fruit  auquel, tout comme Adam, je ne pouvais que succomber, paradis perdu pour le premier homme, paradis retrouvé pour moi sur ces "Champs d'Elise" qu'il fait si bon ensemencer...
(Marc)
Mercredi 12 août 3 12 /08 /Août 15:41
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : les blogs persos
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Tête baissée, corps arc-bouté, je lutte contre le vent pour avancer sur ce trottoir quasi désert.

Une bourrasque et voilà mon parapluie qui se retourne et exhibe ses baleines en calice tel une fleur urbaine d’acier et de nylon.

La giboulée m’égare, la pluie m’aveugle et soudain : la collision improbable, violente.

Le nez écrasé contre un torse dont la solidité de bouclier - je le pressens - ne peut être que masculine, je bafouille quelques vagues excuses.

Mes cheveux dégoulinent affreusement, la petite robe légère me colle à la peau d’une manière indécente tandis que je lève un regard aussi fautif que rageur à l’encontre du survenant.

 

L’incrédulité fige nos visages si abruptement confrontés. 

En une fraction de seconde le passé lointain ressurgit et nous saute à la figure.

 L’émotion empourpre mes pommettes tandis que tu te penches vers moi pour y déposer deux baisers mutins et fondants.

 

Non, je n’ai rien oublié…

Rien oublié de ces deux adolescents insouciants qui dévoraient à pleines dents une vie encore indéfinie mais infinie dans ses promesses…

Face à ta haute stature, je redeviens cette juvénile lilliputienne qui autrefois, pour amoindrir nos différences de taille, marchait sur le trottoir tandis que toi, tu restais sur la chaussée en prenant soin d’étriquer ta foulée de géant.

 

Et maintenant, je retrouve ton bras protecteur enroulé autour de mes épaules et nous courons comme deux naufragés vers la chaleur de ce bistrot surgi de nulle part et qui semble n’attendre que nous.

Tu commandes l’un de ces cocktails alcoolisés dont nous aimions jadis nous réchauffer ; peut être pour nous donner l’illusion de hâter ainsi notre entrée dans le monde des adultes expérimentés.

 

Tes yeux me dévorent littéralement et je ne sais plus si c’est le jeune homme qui fût mon premier amour qui me dévisage de la sorte ou bien cet homme dans la plénitude de l’âge qui me déshabille ainsi du regard : sans vergogne.

Pourquoi mon cœur s’accélère- t- il ainsi ? Par quelle bizarrerie  je feins de croire que toutes ces vagues de frissons ne sont que les prémices d’un refroidissement ?

Allons ! Que diable … Je ne suis plus cette jeune fille intimidée que tu faisais rêver à l’âge où l’on croit encore dur comme fer au prince charmant !

 

Et pourtant… C’est fou le charme que tu as !

Une sorte d’aura magnétique enveloppe d’une douceur indéfinissable tes tempes grisonnantes et griffe malicieusement le coin de tes yeux …

 

Je ne veux pas que tu me reprennes ces bribes de cœur, celles que tu m’as laissées autrefois lorsque tu disais m’aimer tout en me demandant de t’attendre sagement : juste le temps nécessaire d’aller trousser quelques nouveaux jupons blancs, caresser d’autres peaux satinées, goûter d’autres baisers sur des lèvres de hasard et courber d’autres corps non défendants à la fièvre de ton désir.

 

Je n’étais pas venue au rendez vous suivant. Il ne pouvait plus ressembler à tous ceux qui nous faisaient rituellement nous retrouver devant la fac à la sortie de ton amphi de droit et de philo pour moi.

Nous nous envolions alors, main dans la main, rieurs et inconséquents vers quelque nid de connivence où nous refaisions le monde entre révision des cours et initiation charnelle.

 

Nous étions tous deux puceaux et cette virginité métissée de romantisme chauffait autant nos sens qu’elle différait cette envie de découvrir l’alchimie des corps imbriqués et l’extase éphémère qui les confond.

 

Nous sommes restés à la lisière, flirtant au bord du précipice, à la fois excités et angoissés à l’idée de ce basculement que nous savions irréversible.

Nos corps gourmands louvoyaient entre tous les plaisirs que nos bouches, nos doigts et nos langues intrépides décryptaient un peu plus à chaque fois.

Qu’il était bon et terriblement troublant ce mystérieux vertige qui nous retenait encore – pour combien d’heures, de jours ?-  dans l’exploration ardente de nos différences anatomiques si promptes à entrer en interaction.

 

Après ce rendez vous que je n’avais pas honoré, tu m’avais relancée mais je t’avais repoussé.

 Je savais désormais  que je n'aurais plus ni la patience, ni le renoncement vertueux des femmes de marins qui attendent, asexuées, le retour au port de l’absent…

Chacun sur sa rive, nous nous étions dissous dans l’écume des jours, au ressac de la vie…

Et maintenant nous revoici : assis  en tête à tête dans cette promiscuité tamisée qui incite aux aveux, aux frôlements de jambes et aux doigts confidents.

 

La nuit est tombée et les pavés luisent sous les feux éclaboussés des enseignes lumineuses.

 Amnésiques de l’heure, oublieux de nos présents respectifs, la tentation de parachever cette connaissance corporelle laissée en jachère grandit : outrancière, provocante, ravageuse.

 

Une histoire doit avoir un commencement et un terme… Décidément je n’aime pas les histoires inachevées !

Mais n’est ce pas illusion que de vouloir reprendre le cours des choses lorsque plus rien n’est comme avant : ni le contexte, ni les êtres…

 

Mon corps se contracte, je referme ce cœur fragilisé qui rend mes mains moites et tremblantes et je me lève brusquement.

Ton regard s’est assombri et ton sourire enjôleur s’est brisé net aux commissures de tes lèvres.

 

«  Je suis heureuse, sincèrement heureuse de t’avoir revu » : C’est  tout ce que je trouve à dire et je m’en veux de trahir par une telle platitude l’émotion qui me bouleverse.

 

Vite !  M’évader tant qu’il en est encore temps…

 

« Bon … j’y vais ! »

 

Silence…

 

«  Echangeons au moins … nos numéros de téléphone ! »  Me lances-tu en guise de supplique.

 

A la hâte je griffonne mes coordonnées sur un bout de papier que tu m’arraches des doigts comme une prise de guerre.

 

Je me suis tue, incapable de choisir entre un «  Au revoir » et un « Adieu »

 

D’autorité, tu prends ma main et tu ouvres ma paume pour y glisser ta carte de visite puis, sans préavis, tu me serres contre toi pour effleurer ma bouche.

 

J’avais oublié ton goût de sel ; maintenant il me brûle les lèvres…

 

 Alors je me remets à penser très fort, à cet homme , là-bas, quelque part dans la ville.

Cet homme de mon présent que j'aime si fort que cela en devient presque douloureux.

Je me raccroche à lui et son absence se fait omniprésente.

Je pense à lui, à nous.

 

«  On m’attend » …

Ai je crié ou bien murmuré : je ne sais pas, je ne sais plus…

 

Je tourne prestement les talons et dans mon dos, je sens ce regard  du passé qui me poursuit comme une ombre indélébile.

Plus loin, je jetterai la carte de visite sans l’avoir lue…

 

 

Ôh   ...  Mon parapluie ! ...  J'ai oublié mon parapluie !  …

 

 

Lundi 10 août 1 10 /08 /Août 00:35
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : les blogs persos
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« La vie est comme un jeu d'échecs : nous esquissons un plan, mais celui-ci est tributaire de ce que daignent faire l'adversaire aux échecs et le destin dans la vie. »
Arthur Schopenhauer

 

 


« Tout homme marié vous dira que la vie est comme une partie d'échecs : tout est en fonction de la reine. »
Ilya Katsnelson

 



  « Il est trop triste de savoir que la vie ressemble à un jeu d'échecs, où une seule fausse démarche peut nous obliger à renoncer à la partie, avec cette aggravation que dans la vie nous ne pouvons même pas compter sur une partie de revanche. »
Sigmund Freud



Vendredi 7 août 5 07 /08 /Août 01:34
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : blog sexe des amis
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Dimanche 2 Août 2009  Latitude : 42° 54' 34'' Nord
Longitude : 3° 1' 44'' Est
“J’aime les nuages… les nuages qui passent … là-bas …
 là-bas … les merveilleux  nuages !”
(Charles Baudelaire, Le Spleen de Paris, ou Petits poèmes en prose).
Mercredi 5 août 3 05 /08 /Août 09:08
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : les blogs persos
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Ici, les plaisirs de la table sont divers et variés.
Ni couteaux ni fourchettes, on mange avec les mains...
On dévore des yeux...
On repasse le plat plusieurs fois
En plus, avec la baisse de la TVA
On reviendra...!
Mardi 4 août 2 04 /08 /Août 17:45
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : Couples libertins
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Les deux amants heureux ne font plus qu'un seul pain,
Une goutte de lune, une seule, dans l'herbe,
Ils laissent en marchant deux ombres qui s'unissent,
Dans le lit,  leur absence est un seul soleil vide.


Leur seule vérité porte le nom du jour:
Ils sont liés par un parfum, non par des fils,
Ils n'ont pas déchiré la paix ni les paroles.
Et leur bonheur est une tour de transparence.


L'air et le vin accompagnent les deux amants,
La nuit leur fait un don de pétales heureux,
Aux deux amants reviennent de droit les oeillets.


Les deux amants heureux n'auront ni fin ni mort,
Ils naîtront et mourront aussi souvent qu'ils vivent
Ils possèdent l'éternité de la nature.

 

 

Pablo Neruda

Vendredi 31 juillet 5 31 /07 /Juil 02:13
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : les blogs persos
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  Seuls les borgnes et les cyclopes ont droit à l'expression "jeter un oeil".
A moins, évidemment, d'être obligés de regarder par le trou de la serrure...  
Mais ici ce n'est pas le cas. Ce matin, pour votre confort, nous avons en effet laissé
volontairement la porte de notre salle de bains grande ouverte !  


Mercredi 29 juillet 3 29 /07 /Juil 07:52
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : les blogs persos
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