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On devrait donc plutôt dire Jamais deux sans TOI, autrement dit rien que TOI et moi ou alors moi avec un(e) autre mais jamais sans TOI , ce qui dans ce cas fait trois !
En extrapolant, on peut donc aussi dire Jamais trois sans TOI, ce qui peut faire trois ou quatre, Jamais quatre sansTOI, soit, quatre ou cinq... etc.... la constante restant toujours TOI.
On le voit, le libertinage ne remet pas simplement en cause la morale Judéo-Chrétienne mais aussi les fondements de l'arithmétique telle qu'elle nous a été enseignée à l'école, rejoignant ainsi la physique quantique où, personne ne l'ignore, 1 + 1 ne font pas forcément 2.
Cet article, livré sans aspirine, est agrémenté d'une photo perso qui aide à mieux comprendre ce que de simples mots peuvent rendre un peu confus.
Et soudain, le tumulte dans tes prunelles lorsque
surgit cette étincelle de convoitise dans ton regard.
Alors, par une envoûtante transfusion du désir,
ma peau s’aimante à la tienne
Ton baiser devient bâillon brûlantTes bras, tentacules de feu
Tes caresses, coulée de lave
Tes doigts sèment des milliers d’escarbilles pour mieux propager le feu aux anfractuosités les plus secrètes et les plus improbables de mon corps.
Implacable, l' incendie crépite au creuset des reins et jaillit, or en fusion, dans mon ventre…
Puis, tes mains s’arriment à mes hanches et je m’empale fiévreusement sur cette hampe rougeoyante qui embrase mon pubis et se fait houle à l’amble de mes hanches…
Et nous voilà tous deux, cavaliers fougueux, chevauchant entre fureurs et tremblements ce séisme des sens jusqu’à l’extase flamboyante.
Est-ce vraiment une chimère, ce rêve récurrent comme une évidence qui me fait cortège au fil des jours ?
Quelle est donc la nature de cette mémoire incrustée dans ma chair, l’origine de ce frisson sur ma peau palpitante, cette présence olfactive à l’arôme puissant d’encens et d’ambre, cette rémanence rétinienne d’ombres furtives dansant à la lueur tremblante des bougies ? Une lourde tenture de velours s’écarte et un homme apparaît à mes yeux émerveillés…
Ses vêtements sont d’une autre époque, mais son allure m’est familière ; ses traits également…
Il enlève sa cape dans un mouvement ample et il approche, près de ce lit où mon attente se distille…
Son regard happe le mien et, à chaque fois, immuablement, cette capture trouble mon cœur, bouleverse ma chair et réveille ma mémoire…
L’alarme du radio-réveil vibre en sourdine. A travers les persiennes, l’aube jouvencelle s’immisce dans la chambre en auras bleues et or.
Je tends un bras : tu es là, encore endormi dans les éclaboussures de ce premier matin du monde. Je me blottis contre toi, enveloppée dans la chaleur animale qui irradie de ton corps.
Je respire dans ton souffle, je me nourris à ton expir et, ainsi accoudée au bord de toi, je scrute ce visage si familier qui , en filigrane, me révèle notre histoire à travers les strates du temps…
( Elise )
Nouveau: le camping-truck. Un peu plus cher et un peu plus encombrant que le camping-car, le camping-truck dispose d'un espace intérieur beaucoup plus vaste permettant toutes sortes de folies…
N'ayant pas le permis poids lourd, nous avons préféré cet été la chambre d'hôtel mais juste pour dormir, les batifolages s'étant, comme nous le relatons dans un précédent article, déroulés dans un autre endroit tout proche… non, ce n'était pas dans un camping-truck !
Un petit crissement et le frêle bout de nylon se désunit de la tiédeur du pubis. Sa lente descente épouse la chute de reins, ralentit sur la vasque des hanches avant de glisser jusqu’à l’orée chuchotante de ce delta entre chair et bas…
Suave frôlement, cascade de murmures enchanteurs qui éclabousse le fuselé des cuisses, ricoche sur le galet des genoux avant de couler ; eau vive et sauvage entres les rives des jambes gainées de soie jusqu’à ce que des talons aiguille harponnent le fugitif.
Confusion flamboyante de deux tonalités rouges qui s’affrontent, se défient, s’invectivent, se piègent, s’emmêlent l’une à l’autre.
Le tableau "L'Origine du Monde" de Gustave Courbet, provoqua en son temps (1866) un véritable scandale.
Selon ses proches, Courbet avait esquissé une suite représentant la main du peintre s'approchant de l'intimité de son modèle...
La vindicte populaire l'empêcha hélas de concrétiser son projet...
On peut toujours s'amuser à imaginer ce qu'aurait pu être ce tableau... et nous n'avons pas résisté à la tentation... avec tout le respect que l'on doit à ce génie de la peinture.
Courez donc admirer ses oeuvres au Grand Palais de Paris !
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