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Après Laure Manaudou nue, Valérie Begue nue, on s'attendait à Cécilia Sarkozy nue ou encore Amel Bent nue... Eh bien non ! En ce début d'année, un magazine pourtant aux antipodes de "Voici" ou de "Closer" nous offre... Simone de Beauvoir nue ! Et en couverture s'il-vous-plaît ! Le "Nouvel Observateur", devenu en l'occurence "Le Nouveau Mateur", se sert à son tour du nu pour faire vendre.
Il n'est pas certain que l'intéressée eût apprécié que l'on se serve de son image en tenue d'Eve au prétexte fallacieux d'intéresser le bon peuple de 2008 à son oeuvre. Seulement voilà, ou plutôt voici ! Les spécialistes marketing vous expliqueront sans rire que "Le deuxième Sexe", aussi culturel soit-il, est un produit comme les autres et le magazine qui en parle se vendra d'autant mieux que l'on exhibe les fesses de son auteur en "cover" ! (les publicitaires raffolent des mots anglais).
Certains crierons au paradoxe en nous voyant publier à notre tour la photo en question ! La différence d'avec la démarche du Nouvel Obs est pourtant claire: nous montrons cette image simplement parce qu'elle nous plaît, sans arrière-pensée mercantile ou culturelle.
Du coup, pour vous, aucun Euro à débourser et en sus, l'économie d'avoir à vous farcir des pages et des pages de pubs pour Peugeot, Apple, Christan Dior, Festina, Sephora ou Givenchy qui, placées en un tel endroit, apparaîtraient sans doute comme une véritable insulte aux yeux de celle qui, en son temps, vendit "La Cause du peuple" sur les trottoirs de Paris en compagnie de Jean-Paul Sartre.
PS: Bizarrement, aucune réclame pour Castorama ! Une belle occasion ratée... comprenne qui pourra.
L’aube nimbait d’un halo laiteux ce premier jour de l’année.
Un de ces matins glacés où la nature se fossilise en dentelles de givre.
Malgré la fatigue d’une nuit sans sommeil et la hâte de rentrer, nous étions subjugués par la beauté de cette aurore qui s’offrait à nous voilée de brumes virginales.
Silencieux, main dans la main nous avons étrenné l’herbe gelée qui crissait sous nos pas.
Nous avons aspiré la froidure et bu la lumière opalescente jusqu’à cette étrange impression de naître à cette contrée ou, plus confusément, d’y revenir comme deux vieilles âmes retournant sur leurs pas terrestres …
Tu as pris ce cliché surgi d’un si lointain ailleurs qu’il rend l’émergence de la chair aléatoire, les contours diffus et le corps improbable…
Lorsque je le regarde, je me perds et me retrouve simultanément : dissoute et recrée l’espace d’un déclic dans l’incommensurable de ce temps que nous avions cru apprivoiser…
Les retours des congés de Noël et de nouvel An se font progressivement en direction des zones urbaines.
Niveau orange Samedi et Dimanche : d’abord à partir des zones montagneuses et en particulier en ce qui concerne le franchissement des cols.
Par ailleurs ; il existe un risque non négligeable de fortes crues en altitude comme un danger de violentes rafales de vent dans la traversée des départements du Bas- Rhin et de l’Aisne…
Tes pas sont feutrés d’ombre lorsque je te sens approcher lentement dans mon dos.
Je t’épie du coin de l’œil, l’air de rien…
Tu poses doucement tes mains sur ma nuque rebelle et tu les laisses ainsi me réchauffer et se décalquer sur ma peau.
Imperceptiblement, tes doigts frauduleux soulignent le sillon entre mes omoplates, comme une cueillette dérobée qui n’ose encore murmurer de la moisson, le nom …
L’éclair fugace du premier frisson trouble ma chair et mes griffes se rétractent dans l’attente suspendue à l’arabesque de tes gestes.
Alors, tu oses l’ébauche d’une caresse comme une coulée douce sur mon dos…
Mon échine devient élastique, mes reins se creusent et mes fesses se tendent et à la rencontre de tes mains.
Tu flânes un peu dans cette combe ténébreuse qui incite aux plus doux péchés avant d’empaumer ma croupe offerte afin de l’amadouer et l’arrondir en une lune pleine.
Un soupir de plaisir qui s’échappe de mes lèvres, un petite soubresaut dans mon ventre chaud et me voilà envoûtée…
Tu connais bien ces indices qui préfigurent la genèse du plaisir et qui t'exhortent à pousser plus avant l’investigation avec des gestes plus experts, plus ciblés , plus osés…
Ton torse vient épouser la cambrure de mon dos, ta bouche mordille ma nuque, un index humidifié vient courtiser mon œillet tandis que l’autre main se fait conque pour mouler le mont de Vénus. Un brasier enflamme mon pubis et ses escarbilles rougeoyantes gonflent mon clitoris et taraudent mon bassin. Tes doigts fureteurs m’explorent et me hantent au plus profond.
Tu t’appesantis , tu t’accoles, tu t’arrimes à moi et je sens alors la superbe turgescence de ta trique glisser dans le ruisseau de mon entrejambes et remonter vers mes fesses puis redescendre à nouveau dans un mouvement de balancier où nos muqueuses se goûtent, s’abreuvent l’une à l’autre, se mêlent, se défient et se jouent…
Nos corps soudés battent l’amble dans un lent glissement vers des abysses de volupté.
Le souffle court, tu agrippes mes fesses ; je me cambre un peu plus, je deviens chatte en chaleur dans un florilège licencieux de ronronnements et de feulements…
Entre la griffe et la dent, tu m’empales enfin et lorsque je suis sur le point de défaillir, tu t’immobilises : doigts crispés et ongles enfoncés dans ma chair pour surseoir à l’orgasme imminent…
Tu me dis alors ces mots crus, ces mots de l’intime , ces obscénités excitantes qui savent m’enfiévrer à l'excès …
Et puis, tu reviens à la charge, alternant légères incisions et profonds coups de boutoir.
Ainsi, tu me chevaucheras longuement en variations aléatoires et moi, funambule sur le fil tendu de la jouissance , je rugirai, je te supplierai, je te maudirai ...
Tu me conduiras ainsi avec maestria plusieurs fois aux pics de ces voyages ascensionnels avant de basculer à ton tour dans l’extase flamboyante.
C'est la belle nuit de Noël
Et tandis que souffle la bise
Ses beaux yeux levés vers le ciel
A genoux la petite Elise
Avant de fermer les paupières
Fait une dernière prière
Pour les fêtes, un peu de fantaisie ne fait pas de mal. Voilà pourquoi nous vous proposons en cette veille de ripailles le "blog" de foie gras. Blog entier et non pas de simples morceaux, soyons fous !
La méthode "sur canapé" est la plus classique mais il existe mille et une autres façons tout aussi délicieuses de déguster ce mets délicieux qu'est Elise (nom de "Marc" déposé)
Nous ne doutons pas de la richesse de votre imagination dans ce domaine et il serait intéressant que vous rendiez publiques quelques-unes de vos suggestions parmi les plus coquines…
Il n'est pas impossible dans ce cas que nous cédions à la tentation de les concrétiser dans un proche avenir…
Séduisez-nous, charmez-nous, débauchez-nous…
Rien ne laissait présager la tournure qu’allaient prendre nos jeux amoureux…
Tu avais commencé par m’embrasser dans le cou, juste derrière le lobe de l’oreille ; à cet endroit précis dont le seul effleurement se fait délicieuse torture dans la promiscuité équivoque entre agacement chatouilleux et volupté…
Et ma tête docile avait fléchi, abandonnée contre ton torse
Et mes jambes avaient chancelé sous la caresse de ton souffle chaud…
Et mon corps tout entier s’ était alors plié à ta loi .
Je me suis sentie soulevée puis emportée entre tes bras ; le cœur battant et la peau fiévreuse vers cet ailleurs que tu allais inventer au faîte de l’instant mystérieux.
Le bois du plateau de la table était lisse et tiède : tu m’y as couchée en m’intimant l’ordre de fermer les yeux et de garder l’immobilité .
Je suis restée ainsi de longues minutes : abandonnée, orpheline de tes mains, embastillée de silence et de nuit.
Soudain : le choc, le frisson, la déraison lorsque tu as bandé mes yeux avant de me menotter avec une époustouflante dextérité …
Désormais : j’étais réduite aux caprices de ta fantaisie : vierge, catin, femme-enfant ou bien diablesse … que sais-je encore ?
Analphabète de mon sort, je frissonnais, le corps tout entier tendu au cordeau de l’attente…
Tes mains ont écarté fermement mes jambes et tu m’as fait glisser au bord de la table jusqu’à ce que mes hanches s’y arriment .
Puis tes doigts se sont mis à griffer mon échine tandis que ta langue habile léchait le creux de mes reins. Inexorablement, le plaisir arquait mon dos et une houle de feu faisait onduler mon bassin mais, d’un geste vif, tu m’as donné une claque sur les fesses et tu m'as plaquée sur la table.
Juste un petit cri de surprise jailli dans ma gorge : mélange de douleur et de plaisir avant que je ne me range docilement à ta volonté.
Ensuite, tu t’es écarté de moi et, derrière mon bandeau, j’ai perçu ton plaisir redoublé devant une telle allégeance …
Quelques secondes de vacuité comme un répit insensé, une fêlure dans le temps et l’espace et moi tout entière endiguée dans l’attente de toi…
Bien après, ta bouche est venue s’accoler à l’ombre de mon entrejambes et ta langue m’a séparée puis écartelée avant de fouiller plus profondément la rouge blessure et, lorsque tu as senti ma reddition proche, tu t’es interrompu brutalement. Puis ta hampe a glissé lentement sur mon mont de Vénus, sculpté le creux de l’aine, musardé à l’entrée du défilé humide sans jamais apaiser cette faim ogresse qui grondait violemment en mon ventre …
Tu as joué ainsi longuement : de digressions en frôlements comme autant de frissons, d’émois et de promesses.
Et je suis restée soumise au paradoxe de tes petites cruautés qui savent si bien faire germer l’émoi pour mieux en trancher l’éclosion…
Mais de cette frustration est née une jouissance autre ; ambiguë et baroque: celle de tous ces possibles entre toi et moi .
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