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Alice, Elise, deux noms aux consonances voisines et ce n'est sans doute pas un hasard...
Celle du Pays des Merveilles traverse les miroirs. Elise, quant à elle, se plaît à
passer au travers des toiles de maîtres...C'est en quelque sorte son violon
d'Ingres !
En cette période de rentrée, rien de tel que de s'immiscer dans un tableau de ce
dernier pour se remettre... dans le bain !
Tels des phalènes aux ailes poudrées d’or, nous entrons dans le cénacle ; nos yeux confondus dans un même regard tissé de convoitise et d’appréhension…
Fugace désenchantement: un décor banal, une musique dont le rythme martelé incite plus à l’aparté gestuel qu’à l’enlacement langoureux…
Seule touche sensuelle : la transparence suggestive des vêtements féminins sublimant dans des halos rougeoyants les corps chimériques…
Aux détours de ce ténébreux royaume : des alcôves de néant et des lits arides : alvéoles vides d’odeurs, de bruissements et de mouvements comme une ruche désertée…
Réfugiés dans une encoignure, nous guettons la faille, nous espérons l’impromptu.
Puis tes mains se posent sur moi, musardant sur mon corps de digressions allusives en furtives impudeurs comme si elles avaient le pouvoir de bouleverser l'ordonnance du lieu et d’infléchir l’orbe du temps.
Soudain, l’instant frémit et tout bascule : les corps défiés par une déferlante de désir tanguent et ploient avant de sombrer dans les abysses des possessions multiples.
Voluptueusement, nos gestes déclinent le syllabaire des épidermes et nous naufrageons à notre tour dans cette profonde ivresse qui résonne au diapason des étreintes contiguës.
Plus tard… bien plus tard nous découvrirons d’autres mélodies en sous-sol…
Labyrinthe de couloirs, intimes niches d’amour entrevues à la brèche d’un œilleton et vastes alcôves : béances offertes à l’envoûtante contemplation. Les corps s’y dévoilent, se rejoignent et se joignent en ajustements parallèles ou en enchevêtrements dans l’exubérance baroque d’improbables figures …
La vie se célèbre ici dans le jaillissement joyeux et l’exacerbation de tous les sens. Tout un florilège d’émotions cueillies à fleur de peau et conjuguées dans la promiscuité d’un frôlement, la suggestion d’un geste qui convie, la caresse magnétique d’un souffle , la contagieuse aimantation des chuchotements , l’expansive jouissance des râles et des cris…
Les jours passent et dans l’aube aux draps froissés, la rémanence encore vive de ces douceurs partagées aux confins de « Nous » …
( Elise )
Sur la liste de nos nombreux fantasmes, figurait depuis un bon moment la visite d'un club libertin.
Nous en avions amplement entendu parler sur des forums, parfois en mal, ce qui ne faisait qu'augmenter la petite appréhension à l'idée de concrétiser un jour ce projet. Depuis peu, le pas a été franchi et nous ne le regrettons pas.
Parvenu devant l'entrée de ce temple d'Aphrodite situé quelque part sur la côte Languedocienne, un énorme black nous accueille. Toisant la tenue sexy d'Elise (voir photo de l'article précédent) qui ne dissimule en rien ses "appas" comme on disait fort élégamment à l'époque de Racine ou de Molière, le Cerbère n'hésite pas une seconde à nous laisser entrer !
A l'intérieur, lumière tamisée, lasers, piste de danse, bar, rien que de très ordinaire. Nous sirotons nos vodkas orange, dansons un peu et commençons, sans nous l'avouer, à nous ennuyer un peu. Il faut dire qu'il est à peine minuit et que les choses sérieuses, nous a-t-on précisé, ne commencent que bien plus tard. Avisant une banquette dans un coin uniquement éclairé de quelques flammes de bougie, nous décidons de nous y installer. Près de nous, d'autres couples en ont fait autant...
Et voilà qu'au bout d'une demi-heure, nous apercevons les femmes faire des fellations à leur compagnon. Le couple de gauche s'enhardit et sans la moindre retenue, devant nos yeux ébahis, enchaîne diverses positions du kamasutra tandis qu'un autre, relevant la mini jupe de sa compagne, s'agenouille pour fouiller de sa langue une fente ornée d'une toison brune en ticket de métro. L'excitation nous gagne à notre tour.... allons-nous rester de simples spectateurs ?
Comme dans un rêve, Elise se penche alors vers moi et délivrant mon sexe durci de ses entraves se met à le sucer goulûment tandis que je lui caresse les fesses. A un moment donné, je croise le regard d'une autre femme, elle aussi en train de faire une fellation, et je la sens aussi émoustillée que moi du spectacle que nous nous offrons l'un(e) à l'autre... échanges voluptueux de signaux visuels tels des sémaphores… (c'est vrai qu'on s'aima fort…lol)
N'y tenant plus, Elise grimpe sur moi à califourchon et je la pénètre d'un seul coup sans difficulté tant sa chatte est trempée. D'autres couples ainsi que des hommes observent nos mouvements de va-et-vient. A aucun moment je ne sens de regard pervers ou prédateur... tout au contraire, les yeux braqués sur nos ébats sont bienveillants, respectueux, complices...
Plus tard, Elise s'allongera impudique sur la banquette en écartant les jambes, attendant impatiemment que je lui fasse un cunni, toujours devant témoins. Je m'exécute tandis que ses mains agrippent ma tête de plus en plus fort au fur et à mesure que l'orgasme approche.
Le temps passe, il est plus de trois heures du matin. Après avoir pris beaucoup de plaisir, nous dirigeons alors nos pas vers un petit escalier menant au sous-sol, la partie torride de l'établissement. Là, dédale de couloirs sombres agrémenté de nombreuses alcôves accueillantes... Beaucoup de monde et vision Fellinienne... des dizaines de couples, de trios hétéros ou bi baisent à portée de mains...Nous croisons une femme qui fait comprendre à Elise d'un sourire engageant accompagné d'une petite caresse sur le bras qu'elle ne lui est pas indifférente tandis que des mains masculines effleurent son postérieur... Effet aphrodisiaque garanti...
Des râles, des gémissements, voire des cris de plaisir essentiellement féminins retentissent régulièrement... Rien de sordide comme on aurait pu l'imaginer mais vision d'une humanité entièrement livrée aux plaisirs des sens dans une parfaite communion...l'harmonie retrouvée à travers le désordre, étrange paradoxe... C'est en tout ainsi que nous le ressentons....
En ce qui me concerne, je suis littéralement fasciné par la scène au point de rester figé, ne sachant plus de quel côté tourner mon regard. Ce sont deux femmes en train de s'embrasser à pleine bouche pendant que leurs hommes les caressent qui me feront le plus d'effet, tant je trouve, comme beaucoup d'hommes, les scènes saphiques d'un érotisme torride.
Regagnant nôtre hôtel vers 4 heures du matin, Elise m'avouera qu'elle aurait bien continué à se lâcher au milieu de tous mais je me dis que c'est peut-être mieux d'avoir quitté les lieux avec encore une petite faim... Nous ne pensions sincèrement pas en faire autant pour une première fois et cela en augure donc une prochaine, peut-être encore plus délirante...
Nous ne saurions trop recommander à ceux qui hésitent encore à tenter la même expérience... A condition bien sûr que la confiance règne au sein du couple et que la complicité soit totale. Cette dernière ne s'installe pas du jour au lendemain et vouloir brûler les étapes peut être extrêmement dangereux.
Bref, vous l'avez compris, nous y retournerons et de ce fait, peut-être un jour, ou plutôt une nuit, nous y croiserons-nous...
Tu m’en parlais parfois … avec des mots épars qui se perdaient au creux de l’oreiller. Des phrases inachevées, des élans suspendus comme des bonheurs en germe.
Peu à peu, dans la brume de mes nuits océanes, j’en étais venue à « le » fantasmer. Puis, je l’avais élaboré, construit, ciselé comme un rêve aux formes abouties.
Voilà qu’un soir, au carrefour des hasards, le possible croisait l’évidence. Il était venu ce moment parfait : celui du fruit qui, dans la plénitude de sa maturité, n’attend que le geste qui osera enfin le cueillir…
L’instant du trouble et du vertige, fragilité extrême dans la fulgurance des révélations ambigües...
L’air était d’une telle douceur et le vent si léger que l’obscurité de la nuit s’émaillait d’éclats espiègles et de bruissements enjôleurs.
Ainsi, après un fin souper en tête à tête dans ce restaurant en front de mer, nos pas accordés nous avaient-ils guidés tout naturellement jusqu’à cette façade en habit de lumière… Le clin d'œil taquin de l’enseigne était invitation implicite à en franchir le seuil comme une promesse d’embarquement pour Cythère…
Sans nous concerter – juste peut être une pression plus forte de nos doigts enlacés – et nous étions déjà en train de gravir les dernières marches de ce club libertin qui s’ouvrait en s’offrant à nous dans la complicité de la semi pénombre …
« Quand on aura beaucoup dansé,
Beaucoup trop dansé,
On s'en ira de ce zin-zin
Et je te prendrai par la main
Jusqu'à la mer où tout finit
Quand on aura beaucoup flirté,
Un peu trop flirté,
Comme le Bon Dieu sera couché,
J'ai peur qu'on entende siffler
Tous les serpents du paradis…
Quand on aura pomme croquée,
Bien pomme croquée
Et qu'on aura déshabillé
Ces inconnus que l'on était,
On sera vrai comme la vie…
Au bain de minuit. »
Paroles: Maurice Vidalin. Musique: Gilbert Bécaud
Lorsque le temps est maussade et les programmes de télévision ennuyeux, reste la soirée visiochat.
Ce fut le cas hier soir jusqu'à une heure assez tardive…
Là, vers 23 h 30 le thermomètre a très vite grimpé et personne ne s'est plaint du programme. D'autant qu'une fois encore, il était interactif, les spectateurs devenant à leur tour acteurs…
Vous voudriez des détails ? Zut, vous n'aviez qu'à être là, vous connaissez l'adresse !
La prochaine fois, on compte sur vous… Le mot de passe sera d'autant plus facile à retenir que ce sera celui que vous aurez inventé.
En ce bel aprè-midi de Juillet, par un temps radieux comme le prouvent les photos
prises ce jour-là, nous sommes allongés nus sur un épais gazon à rendre jaloux les
Anglais, spécialistes en la matière.
A une trentaine de mètres de nous, un autre couple est dans la même situation.
Et puis voilà que tout à coup nous les surprenons en train de se caresser. Bientôt, le plus naturellement du monde, madame se met à faire une fellation à monsieur puis
d'autres figures s'enchaînent... le tout sous les rayons ardents de Râ !Nous n'en croyons pas nos yeux !
Non loin de là, un monsieur allongé à plat ventre (on devine pourquoi) observe lui aussi la scène.
Très vite, nous prend à notre tour l'envie de faire l'amour en même temps qu'eux.
Toujours est-il que nous n'osons pas, sachant qu'il s'agit d'un lieu public et que l'autre couple prend de gros risques. Baiser en public est en effet dans nos sociétés humaines considéré comme "contraire aux bonnes moeurs".
En revanche, vendre des armes meurtières à un tyran Lybien ne l'est pas.
"Qu'un sang impur abreuve nos sillons mais pas de sperme sur nos gazons !"
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