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Le génie génétique qui transforme aujourd’hui les végétaux va-t-il dans le futur opérer des modifications chez l’être humain ?
Les chiffres l'attestent: notre rue est de plus en plus fréquentée au point de devenir un véritable boulevard… A l'heure où nous composons cet article, pas moins de 354113 visiteurs selon notre indicateur, moitié moins selon la police, ce qui fait quand même encore beaucoup.
La planisphère nous indique par ailleurs que certains viennent de très loin: Japon, Argentine, Australie, Polynésie et même Sibérie ! Il faut dire que dans cette dernière contrée du bout du monde, tout est bon pour se réchauffer !
Tout cela bien sûr ne peut que nous réjouir et nous n'espérions pas une telle fréquentation.
Nous vous rappelons que dans notre rue, le stationnement est entièrement gratuit, même en double ou triple file, à l'inverse de certaines autres voies de passage pour lesquelles un Allopass est nécessaire.
Pour être sûrs d'être toujours les premiers à arriver sur les lieux, nous vous conseillons de prendre un abonnement via la "newsletter", elle aussi entièrement gratuite.
Enfin, ne perdez jamais de vue qu'il ne s'agit pas d'une voie à sens unique et que vos réactions sont donc toujours très appréciées et nous encouragent à élargir toujours davantage la chaussée pour une meilleure circulation..
Ma peau frissonne, mais ce n’est pas de froid…
Mon corps aux abois crie l’envie de toi
Vorace, obsédante, infinie
Elle ravine ma chair en émoi
L' anarchie barbare
S’empare de moi
Sa violence sauvage
Dresse mes seins
Lacère mes reins
Tisonnant mon ventre
De sa langue de feu
Ma tête déborde
Du vertige de toi
Ton absence
Creuse sa brèche
Au confluent de mon delta
Et mes mains dissidentes
Assouvissent de leurs doigts
Cette faim lancinante de Toi…
Elise
A l'époque de la photo argentique, on développait les clichés dans une pièce uniquement éclairée par une ampoule rouge.
Quelle émotion de découvrir un si charmant tirage... émotion empreinte de nostalgie que nous tenions à vous faire partager en ce début de week-end...
Le deuxième numéro de l'émission de Stéphane Bern "Dans l'arène" sur France 2
était consacré, entre autres, à la pornographie, sujet ô combien raccoleur régulièrement traité dans les medias de par l'assurance qu'il donne aux producteurs de faire de l'audience.
Deux camps s'opposaient, les pour et les contre, on ne peut pas faire plus original, avec parmi les protagonistes, deux avocats d'opérette confondant prétoire et plateau de télévision et une Maïté, madame tambouille médiatique, déguisée pour l'occasion en mère la pudeur, plus brillante dans l'art d'assommer les anguilles que dans celui de dénoncer les orgies...
Et comme il fallait s'y attendre, ont ressurgi en masse les éternels poncifs sur le sujet: "la pornographie, ah ben si, c'est génial, c'est libérateur, même que ça fait dégringoler le taux de criminalité..."
"ah ben non, c'est horrible messieurs dames, ce sont des pervers, c'est d'ailleurs à cause d'elle qu'il y a de plus en plus de "tournantes" dans le neuf trois ! Si si, je vous assure !"
Et puis, comme toujours, la petite rengaine sur la différence entre "érotisme" et "pornographie" avec des arguments entendus dix mille fois, quelques photos de porno chic plus ou moins floutées, sans oublier le fameux vote du public, deux fois plutôt qu'une, ça aussi c'est nouveau !
Le tout dans une effroyable cacophonie où aucun des participants ne pouvait terminer une phrase sans être brutalement interrompu... Au milieu, Bern, girouette ébouriffée ne sachant où donner de la tête, tentant désespérément d'endiguer ce tsunami de diarrhée verbale sans jamais y parvenir vraiment.
Bref, une soirée sans intérêt qui n'aura pas fait avancer d'un pouce le problème... si problème il y a, là est toute la vraie question !
Si le but était de faire réfléchir le téléspectateur, ce dont je doute, j'aurais peut-être dû me demander avec angoisse si notre blog était pornographique ou pas, si ce que nous faisions était bien ou mal, si nous étions "normaux" ou pas...
Eh bien non voyez-vous, je me suis endormi tout de suite et profondément...
(Marc)
Il existe des machos de la pire espèce qui ne conçoivent pas qu'une femme puisse leur
dire NON. Blessés dans leur égo pathologiquement démesuré, les pires d'entre eux violent alors la non-consentante ou carrément la brûlent ! (voir faits divers)
Les femmes devront-elles un jour produire un document officiel pour rappeler à tous ces imbéciles que la loi leur "permet" de les éconduire ? On peut toujours s'amuser à se faire peur en imaginant une société Orwellienne et machiste où elles devront, pour valider leur refus, produire un "permis" dont je viens de mettre au point la maquette. Bien évidemment, ce dernier ne les autorisera pas à dire éternellement NON, à moins de recharger le document chez le marchand de tabac...
Voilà de quoi donner des idées aux candidats et à la candidate aux présidentielles 2007 qui ne savent quoi imaginer pour nous fabriquer un monde meilleur et dont certaines divagations valent bien celle-ci ! Mais ceci est un autre débat…
(Marc)
Il semblerait qu'en matière de sexualité nous soyions tous plus ou moins bridés, un peu comme ces logiciels dont certaines fonctions ont besoin d'être activées par un code ou une clé.
Ainsi, dans nos divers jeux érotiques d'inversion des rôles (voir l'un de nos articles précédents), ai-je un beau jour expérimenté, grâce à l'esprit d'invention de ma partenaire, un de ces débridages en passant tout à coup de la situation classique de "pénétrant Elise" à celle, plus inattendue, de "pénétré par Elise"... laquelle eut évidemment recours à un sex-toy qu'elle connaît bien.
Cette pratique plus ou moins fantasmée par la gent masculine, quoiqu'elle en dise, est fortement refoulée par la majorité des mâles, effrayés qu'ils sont de passer pour homosexuels auprès de leur entourage s'ils avouaient s'y être livré !
Signe évident, soit dit en passant, que l'homosexualité est encore loin d'être totalement acceptée et que l'éternelle et totalement arbitraire distinction entre principe actif pour l'homme et principe passif pour la femme semble avoir encore de beaux jours devant elle.
Personnellement, je n'éprouve aucune honte à avoir expérimenté cette variante que l'on peut considérer comme une forme de dépucelage. J'y ai même pris un certain plaisir, dans un premier temps cérébral (la curiosité), dans un deuxième temps physique car personne ne peut douter qu'il s'agit bien là d'une zone érogène tout autant chez l'homme que chez la femme.
Qu'en pensez-vous Messieurs, mais aussi qu'en pensez-vous Mesdames ?
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