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El erotismo en un ambiente ibérico para todo el
affionados de Elisa
Si Paris-plage devenait naturiste, il y aurait cent fois plus
de touristes et le nouveau film de Woody Allen ferait
sans doute encore plus d'entrées que le
précédent...
Pourquoi ce blog ? Pour se faire plaisir, c'est sûr, mais ce plaisir n'a de sens que si il est partagé. De temps en temps, nous recevons des messages privés qui nous prouvent que nous y parvenons et nous en sommes ravis.
Des messages pas toujours très heureux et souvent laconiques du style "tu me fais bander", "je me déplace", "un plan à trois ça vous dirait
?" etc...autant de propositions qui ne laissent guère de place à la fantasmagorie !!!
Ce n'est pas le cas d'un certain Philippe qui, avec beaucoup de délicatesse, décrit une scène érotique très suggestive où il pense d'abord à
donner du plaisir à celle qui en est la reine bien avant de prendre le sien, se différenciant ainsi de ces innombrables consommateurs de sexe qui sévissent sur la toile et dont la lourdeur laisse
pantois...
Une fois n'est pas coutume, nous avons donc décidé de publier le texte de cet inconnu -avec son accord, cela va sans dire- en espérant
qu'il donnera à ceux dont nous parlons plus haut une petite idée de ce qu'est vraiment le libertinage qui n'a rien à voir, contrairement à ce qu'ils pensent, avec de simples parties de baise
!
Merci Philippe.... Bisous
Je rêve de caresses sur tes fesses cambrées et les voir rosir de plaisir, de laisser ma langue se glisser sur le sillon que tu m'ouvres
en te cambrant et de frôler de ma langue titilleuse ces chauds endroits de ton intimité qui sont souvent source d'interdits lors des premiers échanges ...
Comme tu peux le sentir, la douceur de ma langue sur cette rose offerte et la caresse de mes mains qui sont remontées sur tes seins et
en caressent avec tendresse le galbe ne te permettent plus de fermer le calice de cette offrande que tu me fais.
Je sens sous ma langue cette petite rose s'épanouir mais il est trop et ma langue va faire une petite visite sur cette abricot, offert,
ouvert, déjà luisant de plaisir d'où émerge un bourgeon turgescent, dressé de désir, appelant une caresse plus appuyée...mais je sens que tes seins réclament à leur tour leur quotité de baisers
et j'abandonne (à ton mari peut-être) pour quelques instants cette motte prometteuse et insatiable pour remonter vers ton cou, dans lequel tu sens ma chaude haleine, ma bouche se pose sur ton
oreille pour y déposer un tendre baiser et ma langue se glisse quelques instants dans celle -ci pour te montrer toute ma tendresse - ma bouche se glisse sur ton visage, pendant que tu te
retournes, pour t'allonger sur le dos, complétement offerte à notre regard, à nos baisers, à notre tendresse et notre envie de te voir te tordre de plaisir et crier de jouissance, ce qui sera
pour moi ma plus belle récompense - ton regard glisse sur nos corps et tu ne peux ignorer l'effet que les caresses que je te réalise, et le frottement de nos moindre centimètres de peau à peau
provoque sur ma virilité qui t'est donnée en cet instant.
Ton corps se cabre sous les caresses de ton mari , pendant que ma bouche effleure tes lèvres et s'immisce entre elles quelques instant
boire ton haleine...mes mains abandonnent tes seins pour venir caresser les courbes adorables de ton ventre tendu vers le désir, et ma bouche se glisse vers ces deux globes merveilleux, au
mamelons turgescents, offerts à toutes les caresses... ma bouche se promène sur ces deux globes qui se sont durcis sous cette demande de plaisir... et elle glisse dans une tendre caresse sur ces
formes harmonieuses pour leurs donner cette dose de plaisir réclamé...et venir s'attarder sur tes mamelons et laisser ma langue réaliser une savante caresse circulaire sur l’un puis sur l’autre,
pendant que je colle mon corps au tien pour que tu sentes bien dans quelle symphonie commune de recherche de l’orgasme nous sommes … mes mains caressent tes fesses pendant que tu t’offres,
cambrée et ouverte aux caresses buccales de ton mari pendant que mes lèvres et ma langue continuent à apporter du plaisir à tes si jolis seins …
Ma bouche ne rêve plus maintenant que de venir boire avec avidité la liqueur de ton sexe offert à nos caresses, de déguster la
savoureuse liqueur de ton plaisir et d’aller explorer cet abricot offert, luisant, aux lèvres gonflées et palpitantes… ton mari qui a compris mon désir et le tien me fait signe de rejoindre cette
zone jusqu’à maintenant interdite et juste effleurée, pour recueillir la récompense tant convoitée, te boire et sentir sous ma langue vibrer de plaisir ton bourgeon turgescent de plaisir
…..
Je te fais d’énormes et tendres baisers que je te laisse déposer sur les endroits de ton corps qui les désirent le plus et me permet
d’en déposer un délicat au coin de ta bouche et un autre sur ce petit monticule dont je rêve maintenant, comme un adolescent de son premier amour
Très grosses bises …Amitiés à ton mari, heureux homme qui t’a à ses côtés quand il le désire et pour ton plaisir, et qui fait de si
jolies photos de ton corps admirable, qui sublime l'idéal de la femme (qu'il continue)
Tendrement et fougueusement
Philippe
Retrouver avec toi
Les paradis perdus
"Il y a des appétits de bonheur qu'un paradis entier ne satisferait
pas"
[ Steinbeck ]
"Le vrai paradis n’est pas au ciel, mais sur la bouche d’une personne
aimée."
[ Théophile Gautier
]
"L'amour est une respiration céleste de l'air du paradis."
( Victor Hugo )
"Le paradis n'est pas sur la terre, mais il y a des morceaux. Il y a sur la terre un
paradis brisé ?"
[Jules Renard)
Espiègle ! j'ai bien vu tout ce que vous faisiez,
Ce matin, dans le champ planté de cerisiers
Où seule vous étiez, nu-tête, en robe blanche.
Caché par le taillis, j'observais.
Une branche, Lourde sous les fruits mûrs, vous barrait le chemin
Et se trouvait à la hauteur de votre main.
Or, vous avez cueilli des cerises vermeilles,
Coquette ! et les avez mises à vos oreilles,
Tandis qu'un vent léger dans vos boucles jouait.
Alors, vous asseyant pour cueillir un bleuet
Dans l'herbe, et puis un autre, et puis un autre encore,
Vous les avez piqués dans vos cheveux d'aurore ;
Et, les bras recourbés sur votre front fleuri,
Assise dans le vert gazon, vous avez ri ;
Et vos joyeuses dents jetaient une étincelle.
Mais pendant ce temps-là, ma belle demoiselle,
Un seul témoin, qui vous gardera le secret,
Tout heureux de vous voir heureuse, comparait,
Sur votre frais visage animé par les brises,
Vos regards aux bleuets, vos lèvres aux cerises.
La cueillette des cerises
Poème de
François Coppée ( 1842-1908)
Quelles sont les motivations qui conduisent à ouvrir un blog ?
Elles sont vraisemblablement multiples et complexes : pour certains il est question de relater les petits riens du quotidien qui sont la
rumeur de la vie tandis que d'autres auteurs s'attachent à relayer l'événementiel mondial de manière généraliste ou bien
thématique.
Notre espace aussi bien composé de photos et de vidéos que de textes fête ses six ans d'existence : un lieu de partage que nous avons
voulu léger, convivial, optimiste et bien entendu coquin... avec le choix délibéré du mode silencieux concernant autant ces simples tracasseries que les rudes épreuves qui émaillent tout
parcours.
1069 articles : petits billets d'humeur, d'humour et d'amour, du dérisoire à l'essentiel comme les reflets éclatés d'un quotidien ordinaire
auquel nous tentons de donner la saveur particulière d'un jour que nous savons unique.
Bien sûr, certains affirmeront que nous sommes dans le virtuel et que celui ci rime avec superficiel mais connaît- on mieux pour
autant ses collègues de travail auprès desquels pourtant nous passons tant d'heures?
Tout reste affaire de regard et d'intention, de curiosité de l'autre et d'apprivoisement consenti, chacun fixant les propres frontières de
sa sphère intime.
Il n'en demeure pas moins que de belles et authentiques amitiés peuvent se lier à travers ce média pour peu qu'il soit cet espace de
parole ré-appropriée, de dialogue, pour tout dire d'interactivité .
Raison de plus pour remercier très sincèrement celles et ceux qui participent activement à l'animation de ce blog et qui nous honorent de
leur amitié.
Bisous coquins et complices
A très bientôt !
C'était un week-end où il pleuvait des cordes...
Autant en ramasser quelques-unes pour en faire
des jeux coquins et créer ainsi de nouveaux...liens !
Selon une étude très sérieuse, 74 % des hommes se
retournent sur une femme mais seulement 21%
des femmes se retournent sur un homme.
En revanche, parmi ces dernières et à la différence des
hommes, aucune n'émet le moindre sifflement
sans que l'on sache si elles trouvent cela stupide
ou simplement si cette réserve est la conséquence
de leur inaptitude à savoir siffler...
La première femme à m'avoir vu nu était
une sage-femme.
Parmi toutes celles qui suivirent, je découvris avec
ravissement que beaucoup d'entre elles n'étaient pas aussi
sages que j'aurais pu l'imaginer...
(Marc)
Tout le monde sera d'accord avec le fait qu'un dessin est
plus compliqué à réaliser qu'une simple photo.
D'abord, il faut trouver un dessinateur de talent...
Il n'en manque pas
Place du Tertre à Montmartre.
Deuxième difficulté: oser se mettre en petite tenue
au milieu d'une foule de touristes curieux.
Enfin, s'armer de patience pour pouvoir garder la pose
durant un temps parfois très long.
Bref, si vous passez par là, soyez gentils
de ne pas nous déconcentrer !
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