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Si un jour votre ophtalmo vous interroge sur votre vie sexuelle, ne soyez pas surpris.
En complément, il vous soumettra peut-être à un test aujourd'hui très connu. Si par hasard vous ne comprenez pas le texte ci-dessus,
il vous demandera d'essayer de le déchiffrer en vous bridant les yeux à l'aide de vos deux index.
Une expérience intéressante qui permet de remédier facilement et sans frais à une éventuelle déficience de votre acuité
voyeuriste.
Suivant les indications du panneau, nous nous arrêtâmes
en pleine campagne au fin fond d'un chemin creux...
Qu'on aille plus nous dire que le code de la route
est contraignant !
Bien au contraire, il peut en certaines circonstances nous
indiquer la direction à suivre vers des plaisirrs
"buccaux-liques" dont vous n'aurez aucun mal
à deviner la nature...
Tout a commencé par un effleurement de tes lèvres ourlant le lobe de mon oreille suivi d’un baiser dans le cou : il était si léger ce baiser là qu’il a fondu sur ma peau comme un flocon de neige dans cette équivoque où le froid le dispute à la chaleur.
Alors ma tête s’est infléchie, mes paupières se sont fermées et doucement, inéluctablement, mon corps tout entier s’est converti à toi. Je me suis sentie soulevée et emportée entre tes bras vers cet ailleurs énigmatique que tu allais inventer.
Le corps en devenir, j’ai gardé les yeux clos, interrogeant l’instant muet. Je suis restée ainsi de longues minutes :
gisant orpheline de tes mains, embastillée de silence et de nuit.
Soudain : le choc et le trouble lorsque tu as menotté mes poignets avec une étonnante dextérité …
Dès lors, analphabète de mon sort, je n’étais plus que cette poupée de chiffon à laquelle tu allais insuffler vie et âme selon ta
fantaisie.
Tes mains ont écarté mes jambes et tu m’as fait glisser au bord du lit jusqu’à sentir l’aquilon de ta respiration faufilé entre mes cuisses. Puis tes doigts ont égratigné ma peau tandis que ta langue serpentine creusait mes reins. Inexorablement, le plaisir est venu arquer mon dos, creuser mon ventre et empourprer la rotondité de mes fesses où tu semais aléatoirement quelques fessées. J’entends encore l’écho de mes petits cris: mélange détonnant de douleur et de plaisir si intimement liés qu’il m’était impossible de savoir où situer mon désir entre stop ou encore…
Quelques secondes de vacuité comme un répit insensé, une fêlure dans le temps et l’espace déboussolés avant que ta bouche ne vienne s’accoler à l’ombre de mon delta et que ta langue me dédouble puis exacerbe plus profondément la rouge blessure de l’envie.
Lorsque tu as senti ma reddition proche, tu t’es interrompu brutalement et c’est ta hampe qui est venue suinter sur mon mont de Vénus, sculpter le creux de l’aine, musarder à l’entrée du défilé secret sans jamais combler la faim quémandeuse qui me tenaillait.
J’aime aussi ces chemins qui défient l’inéluctable comme autant de possibles affûtés au fil du désir entre toi et moi.
(Elise)
Le lâcher-prise fait peur.
On s'imagine qu'en s'y abandonnant,
tout va s'écrouler sur nos pauvres têtes...
Alors qu'il n'en est rien ...
Ce sont les dieux de l'Olympe
qui vont nous en vouloir !
Derrière
Le miroir sans tain
Ce soleil levantin
Et son éclat argentin
Qui jamais ne s’éteint
Je rêverai longtemps
De tes lointains…
( Elise)
Le mot "amour", du genre masculin, devient féminin au pluriel.
Quoi de plus singulier !
Ignorance d'une règle de grammaire considérée comme simple faute par les puristes, pratique perverse dénoncée comme péché par les puritains.
"Amours plurielles"
Dans le cadre des bonnes résolutions de cette nouvelle année, il ne vous reste donc plus, le cas échéant, qu'à aller à con-fesses, le Bescherelle dans une main, le Catéchisme dans l'autre.
Nous vous souhaitons une heureuse année 2011
Dans l'harmonie des coeurs et des corps
Avec cet enthousiasme sans lequel
Rien de grand ni de beau
Ne se vit ...
Merci pour votre fidélité
A très bientôt
Nous vous embrassons
E&M
'' Et quand viendra l'hiver aux neiges monotones,
Je fermerai partout portières et volets
Pour bâtir dans la nuit mes féeriques palais.
L'Émeute, tempêtant vainement à ma vitre,
Ne fera pas lever mon front de mon pupitre ;
Car je serai plongé dans cette volupté
D'évoquer le Printemps avec ma volonté,
De tirer un soleil de mon coeur, et de faire
De mes pensées brûlantes une tiède atmosphère."
Extraits du poème " Paysage "
Charles Baudelaire
Peu importe la date et l’heure
L’essentiel n'est-il pas
De porter Noël au coeur
Comme autant de bonheurs
Que vos bras
Soient guirlandes
Et se fassent offrandes
Que vos baisers éparpillés
Soient cadeaux enrubannés
Pour
Tout au long de l’année
Aimer
Et Vivre
Ces bonheurs en partage
Afin de perpétuer
De cette nuit jolie
L’embellie
( Elise)
"Tu vins au coeur du désarroi
Pour chasser les mauvaises fièvres
Et j'ai flambé comme un genièvre
A la Noël entre tes doigts
Je suis né vraiment de ta lèvre
Ma vie est à partir de toi. "
Louis Aragon
( Le Roman inachevé )
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