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Si nos rêves peuvent parfois différer des vôtres,
ils n'en restent pas moins complémentaires.
JOYEUX NOËL A TOUTES ET TOUS
La véritable intimité est celle qui permet de rêver
ensemble avec des rêves différents
(Jacques Salomé)
( Photo non contractuelle )
L’étrange moiteur vaporisa son delta pubien d’un voile de chaleur tropicale. Alors, elle s’enhardit à l’envisager. De haut en bas, elle scruta les zones ombrées et ricocha sur les proéminences anatomiques propres à solliciter son imaginaire délictueux.
L’homme arborait une belle cinquantaine exaltée par un physique longiligne et nerveux. Un sourire à l’esquisse mystérieuse, des pommettes hautes, de fines stries égratignant l’angle externe des yeux et quelques
filaments argentés ondoyant sur les tempes sculptaient la beauté sauvage sur ce visage d’Apache.
Un charisme diabolique : l’inconnu avait tout pour séduire d’emblée et presque autant pour susciter la méfiance.
Comme dans un rêve éveillé, elle se vit glisser vers lui dans un déhanchement subtil. Narines palpitantes, elle s’imprégna de son parfum aux notes de vétiver et avança encore, seins pointant à travers l’incrustation dentelée de sa robe. Elle le frôla, huma son odeur de mâle, séduite et rebelle à la fois.
Ses mains ôtèrent la veste d’alpaga, ouvrirent la chemise immaculée sur
le bombé du torse avant d’en flairer l’épiderme comme une chienne. Ses ongles laqués de rouge jouèrent dans la fine pilosité pectorale qu’elle marqua de quelques griffures. Puis elle libéra la taille ceinturée de cuir et au travers du pantalon de tweed explora la zone stratégique où siégeait
une virilité mature et endurante.
Cet homme affichait une aisance naturelle doublée d’une force impassible forgée au fil du temps. Autant de certitudes ancrées qu’elle était convaincue de pouvoir encore surprendre, fissurer, écarteler et pis encore, débaucher…
Elle allait le pousser vicieusement au bord du précipice par ses caresses, sa bouche, sa langue, sa gorge de feu et de miel avant de l’immoler dans le volcan de son bassin.
Elle vit ses mains déflorer la braguette puis ses doigts empourprer et dresser encore plus haut le mât turgescent. Des doigts agiles qui
massèrent suavement ses testicules puis son périnée et son œillet jusqu’à percevoir ce tremblement fléchi des jambes, jusqu’à agenouiller l’insolence.
Enfin elle le prit en bouche, d’abord doucement pour le goûter avant de le posséder dans le fourreau brûlant de sa gorge.
L’étreinte élastique de ses lèvres coulissant sur sa hampe fût tout aussi imprévisible: vagues le portant tantôt vers la grève pour ensuite mieux le reprendre en se retirant vers le grand large dans une jouissance écumée et jamais assouvie…
Il n’eût pas le droit de la toucher, il ne fût même pas autorisé à la regarder un seul instant. Elle et elle seule s’arrogea toutes les prérogatives: celle
de le regarder - paupières closes, tête renversée - celle de l’observer -encore debout mais titubant -, celle de l’épier ainsi : haletant, éperdu et déjà presque vaincu…
Elle choisit les positions et les tempos et lorsqu’elle l’autorisa enfin à la chevaucher, il comprit très vite qu’il n’attendrait l’exutoire qu’au prix
d’un long purgatoire. Elle rua, allant même jusqu’à le désarçonner de manière brutale, voire cynique.
Alors, l’homme calqua ses coups de reins sur la houle déhanchée de la succube, subjugué qu’il était par l’ondulation phagocyte de ce ventre d’ogresse.
Ce fût toujours elle qui décida de l’instant où elle l’autoriserait à l’investir au plus profond, celui où sa queue tuméfiée pourrait buter contre le dernier contrefort.
Une série de spasmes contracta le vagin carminé, enserra son vit juste avant qu’elle ne lui porte l’ultime estocade cambrée : celle qui donne la petite mort et l’oubli…
Elle sursauta, alertée instinctivement par la gîte de son buste.
Aussitôt redressée, elle reprit une attitude digne, tira prestement sur sa robe flirtant avec l’accroche satinée du porte-jarretelles.
D’un geste vif, elle fit mousser sa chevelure, en disciplina les boucles avant de contrôler dans son petit miroir de poche l'ordonnance convalescente de ses traits.
Le baiser naufragé au duvet de sa nuque la fit chanceler.
« Enfin… Toi ! » Lui susurra-t-il en l’étreignant.
Encore toute moite, encore toute alanguie, elle croisa son regard.
« Tu t’étais assoupie, non ? » …
« Tu as l’air vraiment bizarre … »
Juste à deux mètres, gisant sur la table basse, le « Times » sagement replié, le verre vide aux bords embués et ce parfum de vétiver rôdant obsessionnellement…
Souriant sous cape, elle quitta le palace au bras de son amant retrouvé.
Il ignorait cette faim de nuit, il ne savait pas encore cette faim de lui, il ne se doutait pas de la fin de nuit torride qui l’attendait…
Fiction imaginée et mise en scène par
Elise …
Il venait de la joindre et lui proposait un de ces rendez vous impromptus qu’elle affectionnait tout particulièrement. Cet imprévu surgi de la grisaille hivernale avait quelque chose de magique qui déclenchait en elle ce chavirement sensuel lié tout autant à la surprise qu’à l’excitation de le revoir.
Juste une petite heure devant elle, à peine le temps de se mettre en beauté avant d’aller le rejoindre au bar de ce palace.
Une douche, quelques mèches roulées pour faire cascader en volutes auburn sa longue chevelure ,
un léger maquillage soulignant le vert de gemme de son regard suivi par le choix monochrome du noir : escarpins à haut talons, bas à couture, petite robe de cocktail et pour touche finale: un voile de parfum .
Un ultime contrôle dans le miroir lui renvoya l’image d’une mise à la fois simple et chic.
Le groom de faction s’effaça pour ouvrir la lourde porte verre et or débouchant sur un vaste hall d’entrée dont le sol de marbre brillait de mille feux. Elle n’aimait pas cette immensité dont l’opulence ne parvenait pas à dissiper la sensation de vide et de froid.
Elle trouva assez facilement le bar et s’installa sur une banquette , un peu en retrait.
Par son style cosy et l’ambiance feutrée qui y régnait, la pièce était un petit cocon chaud dans cette nuit de glace.
Sagement , elle guettait l’apparition de son amant lorsque son portable se mit à vibrer. Elle apprit qu’il était bloqué dans l’un de ces embouteillages dantesques dont on ne peut estimer la durée.
Bien que contrariée, elle le rassura : elle patienterait le temps nécessaire.
Les minutes s’étiraient à l’infini et seule, la musique jazzy du piano parvenait à agrémenter l’attente.
Une voix masculine la tira brusquement de cet engluement cotonneux.
Depuis toujours, elle était particulièrement réceptive à la tessiture des voix et cette tonalité grave et veloutée la bouleversait encore plus ce soir.
A la faveur de l’éclairage tamisé, elle se pencha discrètement afin d’en identifier le propriétaire dont elle entrevit le profil d'aigle et la chevelure sombre.
Elle l’entendit passer commande d’un Morlach 1938 et, bien qu’ignorante de la nature du breuvage, elle comprit à l'expression déférente du barman qu’il s’agissait d’un alcool précieux.
Sans plus attendre, l’homme marcha dans sa direction . Haute silhouette aristocratique , visage d'une ressemblance troublante avec l’acteur Sami Frey : somme toute, un très agréable voisinage !
Après un hochement de tête courtois, il s’assit à deux mètres, juste en face d’elle. Elle lui rendit timidement son salut et lampa une gorgée de champagne afin de se donner contenance, maudissant cette hâte par laquelle elle avait oublié l'un de ces livres qu’elle faisait habituellement suivre dans son sac.
Dans le fauteuil en vis à vis , l’homme dégustait le vieux whisky tout en lisant un journal étranger.
Inexorablement, le temps s’enfonçait dans la nuit sans que rien en apparence ne vienne troubler la quiétude ouatée du lieu. Rien, excepté cette fièvre obscure qui la prenait peu à peu et qu’elle attribua à la longueur de l’attente …
Maintenant : il fallait qu’il arrive !
Elle n’osait lever les yeux en direction de l’homme, par crainte de ne pouvoir dissimuler l’attirance magnétique qui la consumait.
L’inconnu avait replié son journal et la regardait dans un curieux mélange de réserve et d’insistance… Et cette manière ambigue de la dévêtir ainsi, de la pointe des cils, était des plus démoniaques.
Une petite sueur traîtresse se mit à perler entre ses seins et dans le creux de ses reins. Elle reconnût alors ce corps baissant la garde lorsque le désir ténébreux bouleverse la peau et entaille la chair.
( Elise)
( A SUIVRE ...)
En ces temps de crise financière, économique et sociale, les experts nous affirment que l'or reste la seule valeur refuge.
Mais que faire d'un lingot ? C'est bien là un objet qui ne présente aucune utilité.
La solution existe pourtant: c'est de le fondre ! Le fondre pour en faire un instrument capable, selon les cas, de rendre divers services.
On peut en faire un presse-purée, un ouvre-boîte, un chausse-pieds ou plus simplement, comme à la cour des rois, des assiettes, des fourchettes et des couteaux.
De notre côté, nous avons choisi de transformer notre lingot en un jouet que l'on a plus l'habitude de voir en matière
plastique.
En somme un "godefinger" dont on a même pas besoin de se demander où on pourrait bien le ranger tellement cela semble évident. Un placement
sûr auquel le distingué économiste Cantona n'avait même pas pensé !
La plupart des sexologues nous enseignent que le train-train est le pire ennemi du couple. Une affirmation non dénuée de bon sens mais qu'il
convient de nuancer. Il suffit en effet de savoir lire certains tableaux de départs et d'arrivées pour s'apercevoir que les différents voyages proposés mettent le voyageur le plus blasé à l'abri
de la lassitude.
Si le froid et la neige de ces derniers jours vous ont mis en retard, vous avez malgré tout la possibilité de prendre le train-train en
marche pour passer comme nous un excellent week-end !
Lorsque je suis entrée dans notre chambre, tu étais allongé dans cette pénombre qui rend les choses moins hostiles et les rêves plus envoûtants.
Tu ne disais rien mais dans cette parole absente, aucune gravité qui puisse générer le malaise et l’inquiétude.
Dans tes yeux de silence, le reflet brillant de ces bribes vagabondes projetées dans un instant autre, propulsées dans une dimension inédite.
Je me suis allongée près de toi, sans te toucher, par crainte de bousculer un pan de vie scénarisé dans cet ailleurs à la fois tangible et impalpable.
Bien sûr- comme la plupart des hommes - tu aimes surfer sur la toile pour éprouver ce frisson émoustillant lorsque la vue de beaux corps féminins fait naître en toi le désir mâle du braconnier.
Tu ne t’en caches pas et je n’en nourris aucune jalousie. Il serait stupide et illusoire que de croire pouvoir exercer un contrôle quelconque sur le mental de l’autre…
Je n'ai jamais tenté de fracturer tes rêves ni de briser tes fantasmes et contrairement à ce que bien des femmes pensent, ils ne sont pas
nécessairement l’indice d’une quelconque envie de tromperie.
D’ailleurs, la gent féminine n’est pas,elle non plus ,exempte de fantasmes : elle se montre tout simplement plus discrète ou plus hypocrite peut être ?
Autant le savoir, le sens qui prime chez le mâle est la vue : source inépuisable propre à doper son imaginaire autant que sa testostérone.
C’est biologique, instinctif et la maîtrise de ces possibles débordements relève essentiellement d’un choix individuel tout autant que du contrôle sociétal , lequel veille à contenir des pulsions jugées dangereusement anarchiques…
Nous parlons sans tabous de nos fantasmes respectifs : certains d’entre eux se rejoignent, d’autres sont divergents et nous les accueillons comme tels…
Nous nous invitons réciproquement à les visiter comme une balade onirique à travers ces contrées troublantes et mystérieuses de la psychée.
Piment saupoudrant parfois nos jeux amoureux à deux, adjuvant dopant notre libido, la réalisation de certaines de ces fantaisies ne nous semble pas être pour autant d'une nécessité vitale.
Si certaines d'entre elles ont trouvé un écho dans le vécu par un concours de circonstances, de lieu, d’heure et avant tout de feeling,elles ont scellé encore plus notre complicité intemporelle.
J'aime cette idée que la vie puisse nous surprendre dans ses éclats éphémères flottant parfois sur l’écume des nuits…
Alors, fantasme mon tendre aimé !
Et que dans ces fantasmes
Tour à tour
Blonde, brune ou rousse
J’apparaisse parfois,
Passante de hasard
Traversant furtivement
Tes rêves familiers…
( Elise )
Concernant les fantasmes, nous en avons réalisé un certain nombre dont nous nous sommes à chaque fois fait l'écho sur ce blog (à vous de
chercher !) . Ceux que nous qualifierons des plus "osés" ont ceci de particulier que, en ce qui nous concerne, leur concrétisation s'est toujours effectuée sans réelle
préméditation.
Chaleur estivale + ambiance permissive + humeur lutine + feeling peuvent conduire de façon tout à fait naturelle et dans une totale
complicité à des débordements dont nous avons peine à imaginer que nous en fûmes les acteurs une fois revenus à la vie "normale" où tout est réglementé et où la bienséance et la raison contrôlent
la moindre pulsion érotique.
Pomelo précise qu'il convient de rester vigilants face aux ravages que certains jeux peuvent occasioner dans le couple. A chacun de fixer
ses limites confronté aux éventuels dangers auxquels on s'expose en ne perdant jamais de vue que les dégâts provoqués par le repli sur soi, le non-dit et l'instinct de possession et d'exclusivité
sont souvent bien plus destructeurss que ceux inhérents au libertinage.
Libertinage qui n'a rien non plus d'obligatoire dans la mesure où étant devenu dans notre société une "mode", des gens se sentent obligés de
la suivre presque à contre-coeur de crainte de passer pour des ringards aux yeux des autres. Devenu contrainte, le libertiange perd dès lors tout son sens et c'est bien là qu'il peut devenir
effectivement dangereux.
(Marc)
Dans la nuit empanachée
Des murmures
Des frôlements
Des tourbillons de soie
Des envolées d’organza
Des éclats de brocart
A l’ombre des masques
Des regards magnétiques
Des sourires énigmatiques
Et de l’autre côté du miroir
A l'instant transitoire
Le mystère moiré
D’une étrange soirée …
(Elise)
EVEIL DES SENS
Mon onzième anniversaire accompagnait ce corps d’entre-deux, ce corps transitoire s’éloignant des rives de l’enfance pour en rejoindre d’autres.
Aucune femme ne peut oublier l’étrange fascination devant la métamorphose qui s’opère alors : la poitrine qui s’affirme et aimante déjà les regards obliques, la taille affinée dans la nacelle arrondie des hanches, les reins qui s’incurvent- creuset préparé à recevoir de futures caresses-
et surtout, surtout, cet insolite triangle ombreux: le plus grand des mystères à décrypter…
Sans prévenir, un matin au lever, le pantalon du pyjama aux nounours roses se retrouve maculé par un bizarre suintement rougeâtre qui vous effare avant que Maman alertée ne prononce la phrase hermétique :
« Te voilà femme maintenant ! »
Ah, c’était donc çà ?
Sans le vouloir, sans le savoir, j’avais réussi je ne sais quelle épreuve initiatique…
Désormais, j’entrai dans ce cénacle du ‘’clan des femmes ‘’ !
J’en retirai autant de crainte que de fierté sans véritablement comprendre le sens de cette appellation contrôlée.
C’était quoi une femme ? : Un puzzle sophistiqué, une énigme sanglante ou bien ce paradoxe conjuguant pouvoir et servitude …
Et je suis restée ainsi, prisonnière du surgissement de cette source qui, chaque mois, m’ancrait un peu plus dans cette féminité toute neuve …
Bien qu’ignorante de ses rôle et finalité, j’avais grande hâte de déchiffrer cette mécanique des fluides qui me titillait d’envies soudaines…
Ainsi, un soir d’hiver, au couvert tiède du lit, mes doigts noctambules entamèrent leur maraude sur cette peau de mue, écoutant le moindre frémissement de cette chair où germaient de merveilleuses sensations.
Une chaleur inédite irradiait mon bas-ventre.
En réponse à cet appel muet, mes doigts filèrent sur ces chemins clandestins éloignés du visible – pour ne pas dire du ‘’montrable ‘’ tout court.
Mes mains coulèrent doucement vers le delta embrasé, craignant de voir cette volupté novice se volatiliser aussi soudainement qu’elle avait surgi.
Je me souviens du renflement aguichant du mont de Vénus et de
la réceptivité palpitante de ce pubis s’apprivoisant au toucher.
Intuitivement, compulsivement, mes doigts voulurent cueillir la nacre encapuchonnée bourgeonnant dans la fleur de corail.
L’attouchement fût trop direct et la sensation si fulgurante qu’elle en fût
presque douloureuse.
D’instinct je compris qu’il me fallait apprivoiser le plaisir.
Je n’avais qu’à écouter son bruissement et à le courtiser pour qu’il devienne clameur.
Peu à peu, mes doigts défroissèrent le sourire caché sous les replis charnus avant de glisser sur ces petites sentes parallèles et humides qui en relient de haut en bas les fines commissures. Et c’était comme un fourmillement invasif réconciliant ces lèvres dans une jubilation complice.
Dieu que c’était bon, singulièrement, incroyablement, fabuleusement bon qu’il n’est pas de mots pour décrire l’incendie ravageur.
Les joues cuisantes et le souffle court, j’éprouvai le besoin d’exalter cette flambée jusqu’à l’embrasement absolu.
Inexorablement, de frottements en échauffements, de baptêmes en consécrations tactiles, mon majeur se remit à flirter avec le petit bouton devenu turgescent.
Ronde grisante, valse lente dont les tempos font tourner la tête et ondoyer le ventre.
Et puis soudain, cet orage impétueux lorsque le corps tout entier convulse dans l’extase flamboyante…
Femme …
Je venais d’inscrire en solitude et au secret de l’intime le sens de ce mot.
Cette apothéose là, je l’ai réitérée, enjolivée, enrichie et polie comme un joyau précieux durant quelques années afin de mieux apprendre, comprendre et aimer cette féminité en vase clos…
( Elise )
Ce n'est pas le hasard si le philosophe Michel Onfray figure dans nos liens...
Nous en partageons totalement l'approche hédoniste ....
Et vous, qu'en pensez-vous ?
Novembre 2024 | ||||||||||
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