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Résolue à pulvériser les ultimes tabous, Elise
se dévoile comme elle ne l'a jamais fait auparavent !
Cliquez sur OUI pour découvrir les détails
les plus intimes de son anatomie.
Cliquez sur NON si vous craignez d'être
choqué par une image trop explicite.
Elle ôta le capuchon en métal doré et, avec une lenteur
gourmande, ses doigts tournèrent la base du tube jusqu’à faire surgir un bâton tendre et fondant.
Elle éprouvait alors une forte émotion, une volupté qu’elle n’expliquait pas. Peut être des bribes de souvenir : celui d’une mère mettant une touche finale à sa toilette, peut être aussi
l’évocation de ce prodige viril et turgescent dont elle ne se lassait pas et qui l’éblouissait encore et à chaque fois.
Assise devant la commode ancienne surmontée d’un grand miroir, elle
regardait le reflet de ses mains espiègles jouant à cache-cache avec ce bâton rose qu’elle faisait tour à tour disparaître dans son étui puis réapparaître
en une suave éclosion cosmétique.
Alors, mais seulement alors, elle penchait son buste en avant, rejetait légèrement la tête en arrière avant d’arrondir ses lèvres mimant un « ô » surpris et ravi à la fois.
Elle n’appliquait pas directement la texture sur sa bouche, préférant prélever juste un peu de couleur qu’elle transférait en frottant délicatement sur le bâton coloré la pulpe de son index
avant d’en décalquer la caresse diaphane sur ses lèvres entrouvertes.
Puis, elle en peaufinait le contour en soulignant discrètement d’un crayon couleur chair l’arc de Cupidon, là où se dessine la séduction, où la convoitise creuse son nid et où s’immisce le
désir secret.
Elle habillait ses lèvres de ce même rose nacré irisant son petit coquillage et c’était comme une évocation subliminale de l’intime.
C’était ainsi que lui venait le goût de lui : un mélange de miel et de sel sur les lèvres, une saveur parfois douceâtre, tantôt poivrée en bouche.
C’est ainsi qu’elle l’invoquait, ainsi qu’elle l’invitait, ainsi qu’elle le convoquait à venir contre sa bouche.
(Elise)
(click to enlarge)
Cette nuit, j'ai rêvé qu'Elise avait une soeur jumelle.
Elles se ressemblaient tellement que je finissais par
les confondre.
Au réveil, il n'y en avait plus qu'une mais dans
la salle de bains, je découvris trois brosses à dents...
A vous d'imaginer ce qui a bien pu se passer...
(Marc)
Viens poser tes lèvres
Contre mes seins
Viens mettre la fièvre
Entre mes reins
J'aime les émissaires de l'interdit
Les fusions d'enfer du paradis
Je ne comprends que les caresses
Je n'entends que la tendresse
Y'a que ça qui m'intéresse
Je suis louve, je suis tigresse
Quand ma croupe veut qu'on m'agresse
Je ne comprends que les caresses
Mais si tu veux vraiment
J'ai des mots déments
Viens mêler ton souffle
À mon désir
Viens, tout mon corps souffre
Jusqu'au plaisir
J'aime quand tu me veux
Quand tu me noies
Dans le fleuve en feu
Qui coule en moi
Je t'aime
…Texte de Brigitte Lahaie
Je me suis souvent demandé si, étant devenu moine et ayant donc fait voeu de chasteté, j'aurais, croisant la route d'Elise
lors d'une journée portes ouvertes du monastère, résisté à ses charmes. La réponse est à l'évidence NON ! J'aurais du coup commis un péché mortel, contraint de jeter ma bure aux orties, le tout
sans le moindre espoir de rédemption en l'absence de tout remord !
Dieu merci, l'idée de devenir moine ne m'a jamais traversé l'esprit et renonçant pour toujours à devenir un saint, je choisis dès mon plus jeune âge de rentrer dans les désordres plutôt que dans
les ordres.
Dans notre civilisation Judéo-Chrétienne, la femme est la tentatrice, source de tous nos maux. En ce qui me concerne, le fait d'avoir croqué la pomme ne m'a apporté que du bonheur et l'image
étant souvent bien plus parlante qu'un long discours, celles-ci parmi d'autres aideront je pense à comprendre pourquoi...
(Marc)
Cuisses entr’ouvertes dans l’embrasure céleste
Reins cambrés
Ventre offert à la morsure lumineuse
Livrée, lascive amante
Dans le balancement des heures sensuelles
Délaçant leurs secondes au corset de chaleur
Ton désir m’éclabousse
En caresses de soie
Embruns d’écume de tes doigts …
Frôlements ourlés d’indécentes suggestions
Et ton souffle dans mon cou
Comme une secrète exhortation
Sur un air de Bossa Nova,
Nous tanguons infiniment
Ployés dans la moiteur
Incandescente
Dansons la jouissance
Nos corps liés
Comme gerbes de blé
Glissant furtivement vers l’été
Quand nos peaux se métissent
Au nouveau solstice
(Elise)
La porte de ta douche est restée entr'ouverte
Abusant de la situation
D'un œil inquisiteur d'une prunelle experte
J'ai découvert plaines et monts
Le temple du soleil et la vallée sacrée
Ont disparu sous le savon
(Pierre Perret)
Peut être la tiédeur de la brise, peut être les embruns éclaboussés du crépuscule à moins que ce ne soit l’un de ces hasards insouciants nous ont conduit vers cette improbable guinguette si désuète qu’elle semble surréaliste.
Un petit orchestre que l’on devine à la lueur des photophores, une piste de danse luisant dans la pénombre , une musique langoureuse et des notes qui se dissolvent doucement comme des bulles de savon dans la nuit parfumée.
Cela faisait longtemps que tu ne m’avais pas prise dans tes bras… Enfin pas de cette manière là !
Instinctivement nos corps se calquent l’un sur l’autre, nos jambes se courtisent, nos âmes se séduisent et nos cœurs s’énamourent comme à la première fois.
Slow-moi : furtivement, avec tes mains qui musardent sur mon dos et s'égarent sur mes fesses.
Slow-moi avec tes lèvres de murmure et ton souffle brûlant dans mon cou.
Parle moi d’amour à petits pas, à gestes lents ; de ceux qui lisent ma peau en braille : hésitants, haletants, bouleversants.
Mes bras se font lianes autour de ta nuque, mes jambes s’enroulent aux tiennes, ma taille plie, mes reins se cambrent et mon pubis se moule à ton bas-ventre.
Inexorablement, tu m’enrôles dans ta convoitise, irrésistiblement, tu m’envoles dans ton désir.
Le monde bascule, les étoiles chavirent et nos regards aimantés se font déjà l’amour par procuration.
Attends encore, attends un peu jusqu’à ce que ces fourmillements agaçants, ces frissons de feu, ces tremblements d’adolescents émus nous submergent.
Dansons encore un peu, veux-tu?
Savourons encore ces gorgées de pur bonheur, distillons ces plaisirs soi-disant démodés : la nuit nous appartient !
(Elise)
Il est des soirs où la transparence de l’air nous déleste de la pesanteur pour nous affiner l’âme en nous recentrant sur l’Essentiel …
Ce soir : simplement l’envie de partager avec vous l’émotion ressentie en écoutant cette chanson et cette voix
L'essentiel
C'est d'être aimé
Le reste importe peu, la seule vérité
C'est compter pour quelqu'un
quoiqu'il puisse arriver
C'est entrer dans son cœur et n'en sortir jamais
C'est recevoir autant qu'on aimerait donner
Ne plus s'appartenir, en être rassuré
C'est voir la joie de l'autre et fondre de bonheur
Mériter sa confiance et devenir meilleur
L'essentiel
C'est d'être aimé
Contrairement à tout ce qu'on peut raconter
Ce n'est pas la fortune ou la célébrité
Qui ne sont que du vent et ne font que passer
Je crois que l'important est fait de petits riens
Être attendu le soir et courir en chemin
Un des plus beaux cadeaux
que nous ait fait la vie
c'est quand notre prénom
a l'air d'un mot gentil
L'essentiel
Jour à près jour
C'est le rire aux éclats d'un enfant qui accourt
Et qui nous saute au cœur en guise de bonjour
Que demander de plus
Quand ces bras nous entourent
Le reste importe peu, la seule vérité
C'est compter pour quelqu'un
quoi qu'il puisse arriver
être un jour exilé en pays étranger
et avoir, dans son cœur, quelqu'un à qui parler
C'est inspirer à l'autre un sentiment si fort
Qu'il pourrait nous survivre au-delà de la mort
C'est d'être aimé, encore et toujours
Mon amour...
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