Commentaires

Notre devise

 Fugit irreparabile tempus
Hora felicitatis sum

 

Présentation

Archives

W3C

  • Flux RSS des articles

Welcome

Bienvenue chez Elise et Marc
Soyez nos complices dans l'érotisme, la tendresse, la poésie, l'humour....
 
Pour des photos grand format 
Rendez-vous sur notre blog annexe : Batifolages



Contact perso: voir "contact" en bas de page

Vous êtes actuellement

à vouloir entrer ...
1Il y a    personne(s) sur ce blog

  Référencé par Blogtrafic

 

AFIN D 'ERADIQUER  L'AVALANCHE DE PUBS INTRUSIVES
ET LE RENVOI VERS DES SITES PORNOS QUE LE SITE NOUS IMPOSE 
UN SEUL MOYEN : LES BLOQUER EN INSTALLANT
LE LOGICIEL  "ADBLOCK PLUS " GRATUIT
   



 

 



 


 

elisetmoi

String rouge et noir


Assieds toi devant moi …

Non pas là,

Ni trop près…

 

Que tes yeux prennent place, et que ton regard se focalise sur ce point de fuite ténébreux où ta prunelle me recrée en perspective…

 

Vois-tu mes doigts écartant ce triangle de soie ?

Regarde-les qui dégrafent cette part d’ombre en moi.

Vois ce livre mystérieux que j’entrouvre dans l’entrebâillement de mes cuisses opalines.

 

Sens-tu mon souffle suspendu à l’invisible de ta caresse ?

Cette caresse qui me défroisse aux replis occultes pour divulguer la secrète fêlure,

Comme un effleurement qui me délie là où je suis deux…

 

Ressens-tu cette attente de toi qui enfièvre mon delta ?

Comprends-tu ce mascaret qui déborde et remonte jusqu’à ma source ?

Je te désire

Je veux sentir ta queue et ses coups de boutoir

Explosant les remparts des ultimes pudeurs

Viens,

Viens frayer entre mes cuisses

Je veux thésauriser  aux abysses de mon ventre

Ta semence comme autant de soleils éclatés

Sois

Invasif

Possessif

Infini

Corps et âme liés

 

Tu pourras lire en moi

Comme on lit en braille :

Du bout des doigts

A cœur béant

A corps ouvert

 

Je veux garder au plus profond de moi

Ce stigmate de toi : indélébile !

 

 ( Elise)

 

 A livre Ouvert

 

 

Lundi 22 mars 1 22 /03 /Mars 04:06
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : les blogs persos
Voir les 7 commentaires - Ecrire un commentaire

Tournesol c


Tu es parti, comme ça : discrètement

Sur la pointe du coeur,

Profitant de notre absence...


Ce printemps tout neuf tu ne le verras pas ...

Ou plutôt- qui peut savoir-  

Le verras-tu d’Ailleurs ?


Ce rêve de printemps nouveau

Fleuri sur ton sourire tendre

Qui parle de révolte

Tout en chantant l'espoir.

 

 Le printemps est annoncé

Et si ses bourgeons éclos

Portent les rêves de l'hiver

C'est aussi à toi que nous les devons

C'est par toi que nous les perpétuerons

 

Dans cette Embellie

De l’Amour toujours Cerise….

 


Merci  Jean …

 

 

 

Vendredi 19 mars 5 19 /03 /Mars 11:48
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : blog sexe des amis
Voir les 12 commentaires - Ecrire un commentaire


gametes


Je suis...

 

Ces particules mutantes

Pétries

De chair et de sang

Ces molécules

A la fois

Chargées de conscience

Et de tant d’ignorance

 

 

 

Je suis

Le résultat

D’une conjonction

De gamètes inventives

Et cette transition :

Petit maillon

Perpétuant la vie

Dans l’entrelacs

De toutes ces amours

Entre elles

    Solidaires …

 

 

Je suis

Une simple passante

Un silence

Bordé de paroles

Un cœur donné

 Une âme étonnée

Un corps habité

 

 

Je suis

Cette créature

Qu’emportera le vent

 Et qui

Des choses, cherche le sens

En tournant les pages du temps

 

 

( Elise )

 

  profil

 

 

 

( Etre : Charles Aznavour )

Vendredi 12 mars 5 12 /03 /Mars 03:02
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : les blogs persos
Voir les 15 commentaires - Ecrire un commentaire
sun-ray
Mercredi 10 mars 3 10 /03 /Mars 11:39
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : les blogs persos
Voir les 6 commentaires - Ecrire un commentaire

La Lectrice 2


Lorsqu’il entra dans la pièce, il fut surpris de la trouver en ce lieu et à cette heure de la journée.

Tandis qu’au dehors tout n’était que froidure et grisaille il faisait délicieusement chaud dans leur chambre.

Les doubles rideaux de velours étaient fermés et une petite lampe - une mandarine plus précisément – nimbait d’éclats mordorés cet espace d’intimité.   

Ainsi protégée de la rumeur urbaine, elle lisait, nonchalamment adossée au moelleux rebondi de coussins.

 

Il n’apercevait que ses mains en encorbellement sur la reliure et ses doigts fins sagement alignés sur la tranchefile comme des oiseaux en partance.

Plus surprenante était sa mise pour une telle activité…

Ni totalement vêtue, ni pleinement dénudée, ni vraiment pudique , ni résolument provocante, sa posture portait à la confusion des genres en ouvrant l’imaginaire sur la perspective d'infinies lignes de fuite.

 

Conscient de jouer les trublions, il s’approcha du lit à pas feutrés et risqua un œil par-dessus l’ouvrage.

C’est à peine si elle remarqua sa présence.

 Perplexe, il recula et alla s’asseoir au fond du lit.


Mais que lisait elle pour sembler aussi absente à lui et surtout pourquoi s’était-elle ainsi harnachée ?

Faute de trouver une réponse, il la contemplait dans cet émoi ambigu où l’intimidation le dispute à l’excitation.

Son regard mâle faisait la noria dans un lent travelling qui partait de la pointe des escarpins jusqu’au défilé abscons de l’entrejambes pour buter sur le frêle hamac de soie tendu entre les hanches et redescendre dans cette énigmatique d’ombres et de lumière.

 

Captivée par la lecture, elle restait immobile même si, par intermittence, le soulèvement syncopé de son pubis venait trahir cette apparente quiétude de la chair.

Peu à peu, il remarqua la répétition du phénomène et, par une sorte de mimétisme inconscient, sa  propre respiration se calqua sur ces micro- séismes féminins.

Il se mit à fantasmer si fort que sa braguette se souleva en chapiteau tandis que son slip tendu à l’extrême débordait d’une subite moiteur.

Mû par une ténébreuse convoitise, il s’enhardit à poser une main sur cette cheville gainée de noire transparence avant que ses doigts ne migrent avec légèreté vers l’ellipse du mollet.

 

C’est alors qu’il entendit ‘’Sa’’ voix : elle parlait bas, dans une tessiture veloutée éraflée de ci de là par l’impromptu de sons rauques.

 

‘’ Le corsage de la Marquise s’ouvrit comme par mégarde, révélant l’ingénuité laiteuse de deux pommes d’albâtre tandis que d’un geste ailé, elle soulevait sa jupe pour gravir l’escalier dans une oscillation moirée.  

Derrière elle, tel un chien en rut, le Marquis flairait l’odeur de cette petite femelle à la provocante chasteté.

Il lui filait allègrement le train, tout juste assez prudent pour éviter de fouler ce tourbillon froufroutant.’’

 

 

Le compas de ses jambes s’était imperceptiblement agrandi dans un bruissement soyeux. Un nouveau ricochet de lumière venait indiscrètement

révéler la transparence furtive de son slip moulé sur la fêlure secrète.

D’instinct, l’homme sentit qu’il pouvait maintenant pousser un peu plus avant son incursion.

Sa main emprunta la sente veloutée courant à l intérieur des cuisses féminines.

Il vit la lectrice suspendre son souffle un instant avant de reprendre une respiration heurtée.

 La Lectrice

 


’ Le dernier étage ouvrait sur une enfilade sombre où se découpait en renfoncements le bois de portes clandestines.

La Marquise en poussa une au hasard. Elle ouvrait sur une chambre au milieu de laquelle trônait un majestueux lit à baldaquin rouge et or.

C’est alors qu’elle sentit le souffle brûlant du Marquis dans sa nuque tandis que dans son dos, ce dernier moulait son corps sur la cambrure callipyge de ses reins. Malgré les replis de sa robe haut retroussée, la Marquise sentait l’insistance impertinente d’un renflement durcissant frapper à l’orée de ses fesses.

Oh mon Dieu !

Vous vous égarez mon ami …Songez que je viens à peine de sortir du couvent ! ‘’

 

Les doigts de la lectrice mollissaient sur la reliure tandis qu’à contrario ses genoux tremblants s’essayaient à une impossible jonction.

Une transpiration subite mouilla son entrecuisse et, dans un soupir alangui , elle laissa les doigts masculins écarter la dentelle de son slip et remonter avec une agilité d'anguille vers la source luxurieuse de son désir. 

 

Sa tête se renversa en arrière, son pubis se cabra à la rencontre de celui de l'amant tandis que le livre, tombé en désuétude, sombrait mollement sur le lit …

 

Par delà les siècles, la fiction romanesque se fondait dans leur réalité charnelle de l’instant…

 

(Elise)


Samedi 6 mars 6 06 /03 /Mars 02:01
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : blog sexe des amis
Voir les 6 commentaires - Ecrire un commentaire
M3
Même en fermant les yeux
Rien qu'en pensant à elle

abricot
Son corps si harmonieux
Chatouille mes prunelles

(Marc)

             
Jeudi 4 mars 4 04 /03 /Mars 10:25
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : BATIFOLAGES
Voir les 8 commentaires - Ecrire un commentaire
Lorsque le visiteur pénétra dans cette salle du musée, il fut vraiment très surpris. Ce tableau très osé, là, bien en vue.... il lui sembla reconnaître Elise et Marc dont il fréquentait assidument le blog !
Voulant en avoir le coeur net, il s'approcha de la toile et aperçut alors dans le coin inférieur droit, en lettres minuscules, "E&M".
Il s'agissait bien d'eux et se croyant seul, il ne put s'empêcher de s'exclamer: "Ah, le voilà le détail révélateur" !
C'est alors qu'une voix féminine lui chuchota à l'oreille:

"C'est peut-être un détail pour vous
Mais pour nous ça veut dire beaucoup
Ca veut dire que nous sommes libres
Heureux d'être là face à vous"


Il se retourna. Personne.
Il avait simplement oublié qu'il était dans un musée virtuel...


musée
Le "détail" en cliquant sur l'image
Mercredi 3 mars 3 03 /03 /Mars 10:23
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : les blogs persos
Voir les 6 commentaires - Ecrire un commentaire

Jeu de mains


Ta main coule vers l’échancrure de mon corsage, effleure la pointe de mes seins, musarde sur mon ventre puis se pose sur mes genoux dont elle caresse les rotondités jumelles avant de se glisser insidieusement dans l’interstice ajouré de mes cuisses.

Je croise cet éclair au fond de tes prunelles : j’en connais l’éclat diamantin, l’appel muet, la convoitise gourmande et le démoniaque envoûtement.

 

J’interromps doucement l’ascension de tes doigts tout en te murmurant : non, pas maintenant…

Je n’inventerai même pas l’alibi d’une  migraine pour excuse.

 

Bien sûr… je sais la fascination de tes caresses et l’envoûtement de tes baisers nomades sur ma peau …

Je connais leur harangue persuasive, leur pouvoir de conversion qui rend mon corps docile mais vois-tu, sur l’instant, ton désir n’est pas le mien.

Et pourtant, je n’ignore pas l’amertume de ce petit reflux dans la gorge ni la révolte de cette chair contrariée pour les avoir moi même éprouvées lorsque mon corps ondoyant et mes yeux de chatte énamourée déployaient à ton égard leur parade séductrice : en vain.

 

Là, maintenant, j’ai simplement besoin de boire la tendresse nichée au creux de ton épaule.

Ma seule envie est celle de poser ma tête contre ton torse pour écouter ton cœur rimer le sens de ma vie.

 

La plupart du temps nos désirs de l’instant sont au diapason mais il arrive parfois qu’ils divergent non par dissonance mais tout simplement par défaut de synchronisme.

On a beau être épris profondément l’un de l’autre, dans un couple on n’aime pas nécessairement avec la même intensité spontanée ni dans la simultanéité.

Cela, nous l’avons compris au fil des ans.

Il nous en a fallu des ajustements, des ajournements, des pudeurs muselées, des rages refoulées avant d’intégrer ces différences de tempo.

Il nous en a fallu du temps pour entendre et respecter nos envies propres et démythifier cette croyance en un désir pérenne ou bien un désir sur commande.

 

Depuis lors, nous laissons au désir tout son mystère, son alchimie si complexe, sa bohème, sa fluctuante fantaisie pour l’accueillir comme tel.

Et ce désir là, il nous surprend encore dans sa flamboyance solaire, il nous émerveille  toujours et il nous invente et nous étoile à chaque fois en symbiose.

 

Alors, tant pis si cette fois nous ne faisons pas l’amour …

Je ne veux pas d’un amour d'opportunité pas plus que tu ne serais satisfait d’un érotisme captif.

Nous savons d’expérience que la frustration de l’instant  porte en elle les germes de plaisirs décuplés à venir.

Ce soir peut être ou bien au mitan de la nuit ou, qui sait ? Un peu plus tard, ce sera l’Amour qui nous fera : ensemble.

 

Nous avons tant de trésors de tendresse à nous prodiguer sur le chemin  qui nous y mène !

 

 ( Elise )

 

Lundi 1 mars 1 01 /03 /Mars 02:15
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : les blogs persos
Voir les 9 commentaires - Ecrire un commentaire
lune
Aujourd'hui, 28 Février, pleine lune...
Dimanche 28 février 7 28 /02 /Fév 09:28
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : chaude&caline
Voir les 5 commentaires - Ecrire un commentaire
1 Pour l'amour d'une reine

2 Comme un fou malgré moi

3 J'ai ton sang dans mes veines

4 On fait l'amour et dans tes bras

5 Je vis, je meurs, à chaque fois

6 C'est comme ça que je t'aime

image mosaïque

(Marc)
Vendredi 26 février 5 26 /02 /Fév 10:57
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : Couples libertins
Voir les 6 commentaires - Ecrire un commentaire

Calendrier

Novembre 2024
L M M J V S D
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30  
<< < > >>

Recherche

Images aléatoires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés