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Vouloir connaître l'âge d'Elise, c'est se heurter à un mur.
Un mur qui peut toutefois susciter chez les curieux une vocation de maçon !
Cliquez sur le mur pour l'agrandir !
J'étais dur à cuire, ell' m'a converti
La fine bouche
Et je suis tombé tout chaud, tout rôti
Contre sa bouche
Qui a des dents de lait quand elle sourit
Quand elle chante
Et des dents de loup quand elle est furie
Qu'elle est méchante
Tous les somnambules, tous les mages m'ont
Dit sans malice
Qu'en ses bras en croix, je subirai mon
Dernier supplice
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui ferm' les yeux quand on la couche
Je m'suis fait tout p'tit devant un' poupée
Qui fait Maman quand on la touche
(extrait ’’Je m'suis fait tout p'tit’’)
Georges Brassens
( Cliquer sur la photo pour élargir )
Que voulez vous ?
Je n’y puis rien…
Tant j’adore offrir à mes doigts
Ce tactile entregent
Sournoisement immiscé
En vôtre entrejambe
Question de parité
Par réciproques promiscuités ?
Que nenni !
Mon plaisir est aussi
Celui de vous courtiser
Et de vous gratifier
De ces épidermiques privautés
Dont jamais, mon Ami
Je ne me lasserai…
Comme celle de tâter
D’une main bien assurée
La mâle fermeté
De votre fessier
Puis, poussant plus avant
D’un doigt quelque peu forban
En explorer à la césure
La soyeuse fêlure
Et, délicatement, feuilleter
Les pétales de son œillet
Mais que vois-je ?
Est-ce suffisante raison
Pour vous laisser ainsi
Tomber en pâmoison ?
Allons mon mignon…
Tournez-vous donc !
Que je jardine un tantinet
Du côté de votre adret
Votre autre frondaison …
( Elise)
Mon corps offert comme un miroir
Te laisser regarder
Te laisser glisser
Un regard sous ma peau
Et suivre lentement les chemins intérieurs.
Mon corps offert comme un espoir
Te laisser emporter
La pierre précieuse du désir
Et deviner l'éclat du bonheur ravivé.
Fuir le doute
T'abandonner soumis
Aux ultimes promesses
Te laisser remporter le combat
Enfouir les blessures
Au profond de ma chair.
Mon corps offert comme une histoire
Te laisser regarder
Me taire …
Sentir l'ombre brûlante
Image fidèle du reflet
Me suivre, me saisir
Et s'étirer encore.
Voyage- passion
Aux confins du bonheur.
( Extrait poème Nuit
Nathalie JOFA )
C’est hier, à 15 heures précises, que les pouvoirs publics ont procédé à l’opération de défloutage d’une photo datant de la dernière partouze locale à laquelle certains habitants de notre canton parmi les plus respectables sont soupçonnés d’avoir participé.
Par mesure de sécurité, la population avait été évacuée de crainte que l’image ainsi révélée ne choque gravement les âmes sensibles respectueuses de l’ordre moral établi.
A 15 heures 10, les personnes ont pu regagner leur domicile mais la photo ne sera pas publiée dans le journal local, "Le Pudibond", celle-ci ayant, comme il fallait s’y attendre, été jugée pornographique par les ligues de vertu du département qui exigent par conséquent son refloutage immédiat.
Le cliché représente en effet un homme entièrement nu exhibé de dos et de face d’une manière particulièrement obscène.
Censuré à juste raison, l’objet du délit sera toutefois visible à titre d’exemple édifiant sur le blog d’Elise et Marc et donc réservé à un public adulte et averti.
Un peu de flou sur le Net
On ne peut que se féliciter que les moeurs dissolues auxquelles s’adonnent un certain nombre de nos concitoyens soit si bien encadrées, sachant combien l’étalage de la débauche est la porte ouverte à d’incontrôlables désordres sociaux.
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