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AFIN D 'ERADIQUER  L'AVALANCHE DE PUBS INTRUSIVES
ET LE RENVOI VERS DES SITES PORNOS QUE LE SITE NOUS IMPOSE 
UN SEUL MOYEN : LES BLOQUER EN INSTALLANT
LE LOGICIEL  "ADBLOCK PLUS " GRATUIT
   



 

 



 


 

elisetmoi


Des hanches qui ondulent...


Des peaux qui se frôlent...


Des mains qui s'égarent...


"Bouge tes reins
Lentement devant les miens"


"Reste là derrière moi
Balance la décadanse"


En attendant la vidéo,
Quelle est celle ou celui qui aurait déjà envie
de nous rejoindre dans nos danses lascives ?

 
Lundi 14 septembre 1 14 /09 /Sep 08:19
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : Couples libertins
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 Après nos aventures du mois d'Août qui firent grimper la température bien au-delà de nos prévisions, le mois de Septembre s'annonce chaud et humide...
Ce week-end, quelques minutes de soleil en moins, quelques heures d'amour en plus...
Vendredi 11 septembre 5 11 /09 /Sep 15:51
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : chaude&caline
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Août 2009.
Lors d'un après-midi pluvieux, pendant que d'autres vacanciers passaient leur temps au scrabble,
à la belote ou devant la télé, oubliant toute retenue au risque d'êtres taxés d'impudiques, nous nous livrâmes à d'autres jeux bien plus passionnants.
En live ou en différé, nous ne pouvons qu'espérer que ce partage du plaisir soit le même pour nos témoins d'hier que pour ceux d'aujourd'hui...

Jeudi 10 septembre 4 10 /09 /Sep 13:00
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : Couples libertins
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Etre le maître de ses caprices est exquis, être leur esclave est mieux encore.

(Oscar Wilde)


Mercredi 9 septembre 3 09 /09 /Sep 08:56
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : Couples libertins
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Ce matin-là, on entendit quelqu'un soupirer...
Etait-ce encore le voyeur d'en face dissimulé
derrière la haie de notre jardin ?


Mais non. Nous avions juste oublié que la webcam
était restée allumée toute la nuit...
Mardi 8 septembre 2 08 /09 /Sep 09:30
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : les blogs persos
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(cliquez pour écouter)

La plage désertée

Et sous nos pas les rumeurs du sable

Comme autant de bonheurs somnolents

Sur nos corps de lumière

La mémoire dorée d’un bel été

Et dans le sillage de nos étreintes

Le goût salé de tous nos baisers

 

"C’est en Septembre

Que l’on peut vivre pour de vrai"

 

Merci à Gilbert Bécaud – interprète trop vite oublié-

de cette magnifique chanson de Maurice Vidalin

Dimanche 6 septembre 7 06 /09 /Sep 16:38
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : Couples libertins
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Ce n’est pas
Dans ma mémoire
Que tu demeures

Mais dans mes mains
Dans mon regard
Dans cet instant
Qui s'ouvre sur la mer

C'est aujourd'hui
Le goût du sel
Sur ta peau

Aujourd'hui
Ton rire
Et ma course
Vers ton épaule

Aujourd'hui
Que tu me prêtes
Les mots
Pour mieux t'aimer
Et
Les silences
pour mieux te dire



Hélène Cadou

Vendredi 4 septembre 5 04 /09 /Sep 02:05
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : les blogs persos
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Ni taureau
Ni matador
Juste des jeux interdits
Perpétrés en plein jour
Et des afficianados
Guettant derrrière les fenêtres
Une possible mise amour...
Mercredi 2 septembre 3 02 /09 /Sep 13:09
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : BATIFOLAGES
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Septembre: LA RENTREE.
Je déteste, j'exècre, je hais ce mot !!!
Pire encore que le mot, la sempiternelle question posée par les collègues de travail:
"Alors, cette rentrée, la FORME ?"
Cette année, pour tout réponse, j'exhibe, c'est le cas de le dire, une photo bien choisie de nos vacances....


...en quelque sorte, une FORME d'acquiescement sufiisamment éloquente pour,
je l'espère, les rassurer !
(un clic sur l'image pour la super forme)

(Marc)
 
Mardi 1 septembre 2 01 /09 /Sep 09:14
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : Couples libertins
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Le cœur serré, nous regardions dans le rétroviseur s’éloigner ces silhouettes amies et leurs ‘’au revoir ‘’ se dissolvaient, dispersés par le vent.

 

La distance à couvrir était grande et la route de retour nous paraissait déjà effroyablement fastidieuse en ce Dimanche d’été pourtant radieux.

La circulation était dense et l’autoroute - véritable corne d’abondance - déversait ses flots de voitures en étirant à l’infini son ruban d’asphalte chauffé à blanc.  

Puis… le ralentissement soudain précurseur du fameux « bouchon » que même le plus futé des bisons n’avait pas prévu…

Piégés dans ce carcan d’acier, accablés de chaleur,  nous ressassions amèrement le mauvais choix qui nous avait jeté dans une telle galère.

La radio de bord distrayait tant bien que mal notre humeur chagrine par quelque intermède musical.

Après plus de deux heures de quasi immobilité, tel l’oiseau s’évadant de sa cage tu as pris la première bretelle de sortie.


 

 

Ce détour étaient-il vraiment raisonnable ?

Non !

Définitivement : non !

La mer n’était qu’à quelques kilomètres et là bas, la danse bleue de l’horizon nous subjuguait déjà…

Sable chaud, ressac des vagues, rires d’enfants, cris des mouettes, tonnelle ombragée et rosé bien frais : cette journée avait des effluves de paradis retrouvé.

Pris par l’insouciance estivale, attablés à la terrasse d’un piano bar nous avons étiré tard dans la nuit ce bonheur d’être : simple et absolu.

 

 


Sur une autoroute redevenue déserte,  nous roulions, silencieux, le vague à l’âme et la vague au corps.

Le souvenir de nos peaux gorgées de soleil, rutilant de mille gouttelettes salées et celui, encore plus vivace de tous ces regards échangés comme autant de possibles hantait nos mémoires.

Dans la semi pénombre de l’habitacle, je devinais ton regard oblique qui, à intervalles réguliers, se posait sur mes cuisses dénudées.

Mais lorsque je tournais la tête dans ta direction, instantanément tu redevenais ce conducteur imperturbable, si attentif à la route…

 

 


Tu me provoquais entre oeillades ardentes et profil de marbre.

Joueuse,  j’ai frôlé ta nuque puis mordillé le lobe de ton oreille avant de glisser ma main faussement distraite dans l’échancrure de ta chemise pour libérer ce torse qui luisait comme un bronze dans la moiteur de la nuit.

 

Et toi, tu ne bronchais pas… Juste ce petit sourire en coin que je devinais à peine.

 

Discrètement, j’ai incliné mon dossier, écarté un peu plus mes jambes et retroussé ma petite robe légère sur mon ventre doré.

Comme le signal attendu, ta main droite est venue jouer à l’intérieur de mes cuisses, là où la peau se fait soie puis tes doigts clandestins ont migré vers ce petit livre rose où deux seuls feuillets suffisent à raconter l’origine du monde…

 

Comment fais tu pour m’ensorceler de la sorte, à chaque fois ?

 

Ma source cristalline s’est mise à couler et ma bouche fiévreuse te cherchait, ivre de désir.

J’ai détaché ma ceinture et je me suis penchée vers toi.  

Avec une lenteur perverse, j’ai ouvert un à un les boutons de ta braguette dressée comme un chapiteau de fête.

Puis j’ai lapé cette goutte de rosée perlant au sommet de ta hampe et mes doigts, mes lèvres et ma bouche ligués ont célébré ce sceptre écarlate en prenant bien soin de ne pas le conduire jusqu’au sacre suprême.

 

Par intermittences, le halo de phares illuminait l’habitacle comme un feu d’artifice impromptu dans le secret de cette nuit d’été.

 

Tes soupirs jubilatoires, la crispation de ta main empaumant ma tête m’enflammaient de toutes parts mais lorsque ma gorge se déprenait de toi, je te murmurais ‘’ Regarde la route ! ‘’

Et toi de me rassurer d’un «  Ca va » au laconisme terriblement parlant…

Pressentant le point de non retour, tu m’as doucement repoussée vers mon siège par ces mots :          ‘’ Caresse toi ! ‘’

 


Faute de pouvoir m’empaler illico sur ton vit glorieux, mes doigts fébriles ont aussitôt entamé leur reconnaissance sur mon petit chemin de ronde tandis que les tiens - sentinelles oublieuses – plongeaient dans les douves de mon plaisir.

 Yeux mi-clos, lèvres entrouvertes, je te regardais m’observer et chacun de nos regards croisés se nourrissait du plaisir de l’autre.

Puis tout s’est effacé et la jouissance s’est engouffrée en moi telle une lame de fond, sauvage, profonde et ravageuse.

 

Ce n’est que plus tard lorsque nous avons fait halte sur cette aire pour nous rafraîchir que j’ai su que tu avais explosé spontanément à l'écoute de mes halètements et de mes petits cris égarés.

 

Et sur les heures laborieuses du lendemain flottait encore le parfum aphrodisiaque de cette route de nuit…

 

 (Elise)

 


Vendredi 28 août 5 28 /08 /Août 02:06
- Par Elise - Publié dans : elisetmoi - Communauté : BATIFOLAGES
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