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Sur mon dos en guise d'écritoire
Tes doigts de craie
Esquissent la trajectoire
Du subtil et du provisoire
Entre essentiel et dérisoire
Vers la fêlure de mes fesses
Chuchotant en délicatesse
Le désir et l'ivresse
Tes mains vont a confesse
Et leur prière s'épanche
A l'amphore de mes hanches
( Elise)
Etre à un endroit et à un autre en même temps tout en restant un seul et unique objet.
C'est l'une des caractéristiques de la mécanique quantique qui échappe à l'entendement à moins d'avoir recours à un simple IMAGE dont on a coutume de dire qu'elle est souvent plus parlante qu'un long discours pour appréhender les mystères de l'univers.
(Marc)
J'ai le ventre encore tout bruissant de toi
La rumeur fébrile d'une ruche y bat
Le fantôme de ta hampe enfouie
Incruste au plus profond de moi
Ce désir insatiable, infini
Où,
De petite mort en petite mort
Nous rejouons sans cesse
L'origine du monde
Au paradis perdu
Lorsque tu viens frayer entre mes cuisses
Et qu'au roulis de mes hanches
Tu t'épanches
Je redeviens cette Ève naissante
Évanescente
Recevant ta chaude semence
En soleils éclaboussés
(Elise)
Après tous ces ponts du mois de Mai....
...sachons reprendre le collier !
Il est parfois plus excitant de ne montrer que quelques images plutôt que de tout dévoiler de A à Z.
Issues d'une longue séquence, leur rareté -ici seulement quatre- laisse le champ libre à l'imagination pour se faire son propre
cinéma et "visualiser" selon ses propres fantasmes une multitude d'autres moments, certains très sages, d'autres totalement endiablés...
A vous de vous laisser aller...et de nous livrer quelques-unes de vos représentations dont il y a de fortes chances qu'elles ne seront
sûrement pas trop éloignées de ce qui fut la réalité !
Pauvre petit Benjamin dont parlent les medias qui se retrouve avec 50 000 invités à son anniversaire après son annonce sur Facebook
!
Pas question que pareille mésaventure nous échoit !
Notre jardin ayant une superficie nettement plus réduite que celle du parc de Chambord, le stationnement des invités à notre garden-party
sera donc par la force des choses limité à 5 minutes...
Attention, prévoir de marcher car il n'y a pas de parking à proximité...
Vive l'été !
Mai, mai, mais bien plus encore en Juin, Juillet, Août !
‘’Il est revenu le temps du muguet
Comme un vieil ami retrouvé
Il est revenu flâner le long des quais
Jusqu'au banc où je t'attendais
Et j'ai vu refleurir
L'éclat de ton sourire
Aujourd'hui plus beau que jamais
Le temps du muguet ne dure jamais
Plus longtemps que le mois de mai
Quand tous ses bouquets déjà se sont fanés
Pour nous deux rien n'aura changé
Aussi belle qu'avant
Notre chanson d'amour
Chantera comme au premier jour ''
Francis Lemarque
Les aléas de la vie ont fait que nous ne nous sommes pas vus -même pas touchés du bout des cils - depuis plusieurs semaines.
Seules, nos voix se frôlent au téléphone avec cette pudeur singulière de jouvenceaux qui n’osent se dire ni l’amour, ni le désir impatient qui les porte l’un vers l’autre.
Enfin, voici venu le jour des retrouvailles : celles que nous fantasmons dans ces limbes de solitudes dissociées, celles dont nous rêvons en parallèle au secret de la nuit.
C’est un hôtel discret situé à la périphérie de la ville. De taille modeste, il niche dans les coteaux qui dévalent en cascades de verdure vers les berges du fleuve.
Un long couloir étroit et sombre et, tout au fond, un rai de lumière qui biffe le sol tel un paraphe d’or dans la pénombre. Il happe mon regard et guide mes jambes tremblantes jusqu’à cette porte derrière laquelle tu m’attends.
Le cœur battant et le souffle court, j’écoute le silence bruissant qui me parle de toi, là : si lointain et si proche à la fois, dissimulé à ma vue par une mince cloison de bois…
D’étranges sensations bousculent tout mon être.
Je voudrais crier la joie libératrice, je voudrais chanter la renaissance mais seul, le frémir de ma chair bouleversée noue ma gorge.
J’entends la rumeur sulfureuse du désir monter en moi et le trouble poignant des amours clandestines.
Instinctivement je hume ta présence, je guette ton souffle et j’écoute cette part de moi-même qui respire par toi.
Encore quelques secondes avant de pousser la porte : le temps de ré apprivoiser l’image de ton corps à fleur de mémoire, celui de m’enivrer de l’odeur de ta peau.
Juste le temps d’un soupir pour sentir sur mes lèvres le goût salé de tes baisers et la coulée de miel de tes mains qui se posent sur moi.
J’entrebâille la porte et dans la fulgurance de l’instant, nos regards se croisent,
nos cœurs se capturent , nos corps s’aimantent.
Une singulière euphorie de passion et de fracas nous submerge.
La vie exulte et c’est le monde entier qui chancelle dans le tumulte de notre étreinte …
( Elise)
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