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Au début, je ne comprenais pas ce qu'était le "mur"
de Facebook...
Après bien des recherches, je crois l'avoir enfin trouvé.
Mais maintenant qu'est-ce qu'on fait ?
Suspendue entre ciel et brume, je rêve inlassablement de cette ville improbable dont le reflet vacillant se mire dans l’ondulation perpétuelle d’un miroir aquatique.
Je rêve de ses aubes irisées bercées de clapotis, de ses crépuscules flamboyants et de cette confusion infinie entre l’air, le marbre, le feu et l’eau…
Je rêve de ses ruelles mystérieuses qui, la nuit venue, happent des envolées de mousseline lorsque, surgie de nulle part, une sarabande jaillit dans la frivolité de jupons courtisant les pavés luisants.
Au secret de ses palais millénaires j’entends la rumeur ténébreuse, les rires encanaillés et les soupirs ravis de fêtes galantes émaillées par quelque musique baroque .
Combien de fois ne suis-je revenue errer dans cette cité au point d’en avoir usé tous les détours sans jamais en épuiser le sortilège.
Mes pas ont résonné sur les dalles de ce « campiello » où gazouille une fontaine, mon ombre a parcouru toutes ces « fondamenta », gravi toutes ces marches aux pierres disjointes, franchi tous ces ponts posés comme autant d’accents circonflexes sur les canaux…
J’ai même croisé la silhouette furtive de Casanova entrant dans quelque « ridotti » clandestin et les ombres fastueuses de ces courtisanes flânant dans le « Traghetto del Buso »
C’était il y a quatre siècles
C’était hier,
C’est aujourd’hui
Et ce sera demain, encore …
Sa magie intemporelle est gravée dans le désir immémorial :
Celui de tous les possibles, celui de tous ces autres « moi » obscurs et lumineux à la fois,
Celui aussi de tous ces « autres toi » où tu demeures - ni tout à fait familier, ni parfaitement étranger-- en souvenirs, en présent et en futur.
Derrière nos masques empanachés, nous nous cherchons : humant des parfums, effleurant d’autres peaux satinées et, parfois même, nous égarant dans ces éblouissements où nous croyons un instant nous reconnaître !
Inexorablement nos pas se rejoignent et nos errances fusionnent par cette reconquête où nous nous exauçons l’un à l’autre dans notre Venise enfin retrouvée !
(Elise)
« Tout me conduit à toi, comme si tout ce qui existe- parfums, clarté, métaux - était de petits bateaux naviguant vers les îles, tes îles qui m'attendent.
(Pablo Neruda).
En proie aux incertitudes
Confronté aux vicissitudes
Lorsque, tenté par d’autres latitudes
Il oublie sa propre finitude
Alors, ça devient faible un corps
Mais un cœur, c’est si fragile
Malléable comme l’argile
C’est plein de sentiments
Et de tressaillements
Parfois même, de tourments
C’est fort un corps cependant
Lorsqu’il se veut défendant
Rebelle
Et combattant
Mais un cœur …
C’est fragile un coeur
Ça reste plein de pudeur
Ça cache sa ferveur
Ça fond de douceur
Ça rit et
Ça pleure
Je n’ai pas besoin de garde du corps
A coups de haut-le-corps
Je sais me défendre encore
Et secréter des anticorps
Mais...
Symptomatiquement
Indubitablement
Passionnément
Souverainement
Toi,
Tu restes
Mon garde -cœur …
(Elise)
La cabine photo Studio Harcourt pour les pauvres (authentique !) s'installe au MK2 bibliothèque, célèbre cinéma situé dans le 13ième
arrondissement de Paris.
Avec seulement 10 €, on peut donc se faire photographier dans le style de la maison.
Pour un cliché un peu plus fantaisiste, il faut juste faire attention à bien refermer le rideau et récupérer les photos à
l'abri des regards...après s'être rhabillé !
Mais que ne ferait-on pas pour son blog !
((Marc)
En général, les contrefacteurs (rien à voir avec les opposants à Besancenot) reprennent des noms de marques connues en changeant juste une
lettre.
Les produits ainsi contrefaits sont souvent nuisibles à la santé mais il arrive aussi que ce soit le contraire.
C'est ainsi que par exemple, l'absorption immodérée de SUZE peut conduire à de dangereux états d'ébriété alors que sa contrefaçon peut se
consommer sans modération aucune.
Pour le consommateur troublé qui ne saurait "Que choisir" ou dont la langue fourcherait en passant sa commande, sachez qu'entre une image de marque et une image de Marc, les différences sont suffisamment flagrantes pour qu'aucune confusion ne soit possible...
Démonstration en cliquant sur l'affiche
(Marc)
Les prétendant(e)s à la fonction suprême de chef d’état sont bien plus nombreux que ce dont les médias se font l’écho.
Cette candidate là ne parcours pas les chemins de Compostelle, préférant nous entraîner sur des chemins buissonniers dont le but est de nous conduire au plaisir.
A l’exemple de la Cicciolina , Cindy Lee - de son vrai nom Isabelle Laeng - strip-teaseuse de profession repart en campagne au titre de candidate aux futures élections présidentielles avec son parti « Le Parti du Plaisir » qu’elle a fondé en 2001.
Les arguments qu’elle avance ne sont pas que physiques puisqu’ elle propose aussi un programme …
Pour la curiosité, l’information, le non-conformisme, l’exotisme ou tout simplement pour le plaisir :
http://www.parti-du-plaisir.com/
(Elise)
Tu m’as fièvreusement aimée
En unanimité
Par tous ces bouts de moi
Aux contours siamois
Tu as fouillé sans complexe
Mes fesses convexes
Et leurs cavités connexes
Assaillant en libertin
Ces tendres fortins
Aux huis clandestins
Tu m’as ébauchée
Chevauchée
Embrochée
Débauchée
Incisée
Comme autant d’entailles
De la fine taille
A l’étroite faille
Jusqu’à ce que je défaille…
A l’avers
Comme au revers
Ces lèvres d’ubiquité
Sourient encore par toi…
( Elise)
Un carrelage certes bien ordinaire mais qui fait,
nous dit-on un certain "effet" dès que l'on clique dessus....
J’ai toujours dans la peau un ailleurs
Un soleil lointain tatoué dans le cœur
J’ai encore la tête étourdie
Par tous ces rêves imparfaits :
Au sablier de mes doigts ils ont glissé
Enlisés au creux de mes mains
En alluvions de deltas naufragés
Dans ma chevelure ébouriffée
Le parfum d’orages magnétiques
Et celui des terres embaumées
Au couvert de la canopée
Sous mes paupières
Des illusions esquissées
Et leur persistant mirage
Que ne dissipe point l’âge
Des poussières d’étoiles
Des atolls exilés
Des mers infinies
Dansent toujours dans mes yeux
Et au fond de mon cœur
Ces chemins buissonniers
Où chante toujours l’amour
Dans ses plus beaux atours
Sur ces mouvances
Je danserai encore
A ces partances
Je frémirai en corps
Et j’aimerai
Tous les visages
De ce voyage inachevé …
( Elise )
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